Alors les amis, j'ai besoin de vous, et surtout des pros et de ceux qui ont eu une expérience similaire :
Voilà, j'ai mon voisin qui fait construire avant moi et vient d'avoir une partie des résultats de son étude de sol : bilan : argile sur 7m et bon sol après.
Il n'a pas encore les résultats des tests de qualité et pressiométrique de l'argile.
Certains le savent déjà, je suis dans le bâtiment mais je suis pas très doué en géotechnique donc j'ai besoin de vous et de vos lumières.
Donc, d'un côté, j'entends le MOE de mon voisin qui dit qu'il faut faire des pieux (je veux bien le croire) de dia. 1m X 7m de prof. (là, j'y crois moins surtout quand il lui en prescrit 30 pour 200m²) et de l'autre j'ai mon maçon qui me dit avec des fondation de 60x120ht, ça passe.
Là, je reste dubitatif et je voudrai vos expériences et connaissances de ce sujet
Ne vous prenez pas la tête pour la réalisation de fondations...
Allez dans la section devis fondations du site, remplissez le formulaire et vous recevrez jusqu'à 3 devis comparatifs de maçons de votre région. Comme ça vous ne courrez plus après les maçons, c'est eux qui viennent à vous
Membre super utileEnv. 20000 messageSt Pierre Les Nemours (77)
Je pense qu'il faut descendre à 7 m ( plus l'ancrage dans le bon sol) avec des micro pieux .
30 pieux de 1m de diamètre pour 200 m2, eh bé, ton voisin construit un immeuble.
fondations de 60x120... Pourquoi ces dimensions au pif?
Ce que tu décris, c'e ne sont pas des pieux mais des puits.. un peu profonds!!
un peu le luxe pour une maison individuelle!
Quelle utilité de mettre de l'argent dans du béton pour faire des puits de 7 m de profondeur!
Oui, ton maçon a raison : il suffit de descendre à 1,20m et de dimensionner corrrectement les fondations : pour cela, il faut bien sûr connaître les descentes de charge et les caractéristiques du sol... La largeur ne peut pas être arrêté au "PIF".. comme d'aillerus, pour toute maison construite : il y a toujours une note de calcul!
Ensuite, si tu as un peu de moyen, n'hésite pas : la bonne solution, la voici :
aire une cave.. à moins que cela soit interdit pour cause d'inondation....
Et un radier en rez de chaussée bas + les murs porteurs et périphériques en parpaings à bancher.. cela donne un superbe ouvrage (tout à fait possible à faire soit même!!). En plus, il ne craindra pas l'eau puisque l'on peut même prévoir de réaliser un cuvelage (il suffit de calculer les parois et le radier en conséquence..).
bah voilà, je sais pas pourquoi, il m'a sorti ça, car en fait, il a déjà fait ça
mais à mon avis, je vais demandé à mon voison de me filer son étude de sol, sa maison est à 20 30 m de la mienne et je vais me servir de ça pour dimensionner mes fondations avec le BE de ma boite
je pense que c'est le mieux avec des tites fondations genre 60x120
Ne te prive pas d'un forage alors, il est fort possible que "vers la colline" il y ai une épaisseur d'argile moins importante Ce qui serait favirable !
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
Si il existe une couche d'argile homogène, pas vraiment de raison que ses caractéristiques changent à 20 ou 30 m de là!
Partir du résultat de l'étude du voisin me parait une excellente solution!
Il suffira de vérifier à l'ouverture des fouilles.. et à la rigueur dimensionner les fondations avec un plus gros coefficient de sécurité : ce ne sont pas les semelles qui reviennent très chères.. et encore moins leur sur-dimensionnement!
Il y a aura toujours un gain par rapport à des puits de 7m de profondeur!!
Les 1,20 m sont insuffisants pour assurer la bonne tenue des fondations en présence d'argiles, il faut ajouter la protection périphérique, les arbres à plus de 1 fois leur hauteur, ....
Les caractéristiques d'accord, mais l'épaisseur de la couche a des chances de diminuer en montant vers la colline (à vérifier).
Oui, mais à mon avis insuffisant. L'épaisseur de la couche argileuse est également nécessaire pour choisir un type de fondations.
Rien à voir, ce n'est pas la capacité de portance du sol qui est en cause, mais bien la sensibilité des argiles aux phénomènes de retrait/gonflement. "Dimensionner les fondations avec un plus gros coefficient de sécurité" n'a pas d'intérêt dans ce cas. Ce qui est important, c'est d'éviter que le sol argileux au niveau des fondations ne soit soumis aux effet des "intempéries" (sécheresse, imbibition).
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
Je peux te parler de mon expérience personnelle ; nous avons construit une maison sur sous sol sur un sol sableux en haut d'une colline, que du bonheur.
Puis, nous avons fait terrasser pour la géothermie et là surprise (enfin on s'en doutait car on connaissait bien le terrain) : une grosse nappe d'argile qui nous a entrainé d'ailleurs un surcout, ainsi qu'une source.
Conclusion de l'affaire : à 5m de distance la nature de sol peut être très différente, l'étude de sol de ton voisin n'est pas forcément pertinente dans ton cas
Emménagement en 2005
Photovoltaïque en 2010 - Nous sommes producteurs
En 2011 on a amélioré l'isolation !
Projet surprise en cours d'utilisation : un SPA !
De toutes les manières, si j'ai bien compris le site http://www.argiles.fr/preven[...]#construire et ses conseils, il me faut au plus défavorable : une fondation de 1m20 et une déomembrane au pourtour de ma maison pour éviter l'évaporation
je vais réfléchir pour l'étude de sol, car, il me semble tout de même que les couches géologique s'empile et sont continues sous terre et à 20-30m d'écart, il peut apparaitre des couches en surface ou remonter des couches mais les caractéristiques de ces couches sont toujours les mêmes pour celle qui sont constantes. De plus, au terrassement de mes VRD de ma voie d'accès, j'en profiterai pour faire un sondage à la pelle et voir ce qu'il y a comme couche de fondation. Mais je pense faire des fondations à 1m50 pour être tranquille après étude de mon BET pour le cas le plus défavorable possible
C'est simple, rien n'oblige qui que ce soit à faire une étude géotechnique pour la construction d'une MI.
Ce qui est demandé, c'est une reconnaissance de sol (recueil d'infos à la mairie, voisins, DDE, site "argiles", sondage sur le terrain, …)
Après reconnaissance, si le sol est argileux,
l'intelligence, c'est de faire une étude de sol complète type G 12
Mais, si la décision est de passer outre, comme c'est le plus souvent le cas, les spécialistes du Ministère, du BRGM, de l'AQC, des cabinets d'experts, … ont précisé les conditions minimales à respecter pour éviter les sinistres dus au retrait/ gonflement des argiles (site "argiles", AQC, )
Tu écris :
C'est très insuffisant. Il faut un traitement global, des fondations, de la structure, de l'évaporation, de l'environnement, comme précisé sur le site "argiles
Les fondations sur semelle doivent être suffisamment profondes pour s’affranchir de la zone superficielle où le sol est sensible à l’évaporation. A titre indicatif, on considère que cette profondeur d’ancrage, qui doit être au moins égale à celle imposée par la mise hors gel, doit atteindre au minimum 0,80 m en zone d’aléa faible à moyen et 1,20 m en zone d’aléa fort. Une construction sur vide sanitaire ou avec sous-sol généralisé est préférable à un simple dallage sur terre-plein. Un radier généralisé, conçu et réalisé dans les règles de l’art, peut aussi constituer une bonne alternative à un approfondissement des fondations.
Les fondations doivent être ancrées de manière homogène sur tout le pourtour du bâtiment (ceci vaut notamment pour les terrains en pente (où l’ancrage aval doit être au moins aussi important que l’ancrage amont) ou à sous-sol hétérogène. En particulier, les sous-sols partiels qui induisent des hétérogénéités d’ancrage sont à éviter à tout prix.
La structure du bâtiment doit être suffisamment rigide pour résister à des mouvements différentiels, d’où l’importance des chaînages haut et bas.
Deux éléments de construction accolés et fondés de manière différente doivent être désolidarisés et munis de joints de rupture sur toute leur hauteur pour permettre des mouvements différentiels.
Tout élément de nature à provoquer des variations saisonnières d’humidité du terrain (arbre, drain, pompage ou au contraire infiltration localisée d’eaux pluviales ou d’eaux usées) doit être le plus éloigné possible de la construction. On considère en particulier que l’influence d’un arbre s’étend jusqu’à une distance égale à au moins sa hauteur à maturité.
Sous la construction, le sol est à l’équilibre hydrique alors que tout autour il est soumis à évaporation saisonnière, ce qui tend à induire des différences de teneur en eau au droit des fondations. Pour l’éviter, il convient d’entourer la construction d’un dispositif, le plus large possible, sous forme de trottoir périphérique ou de géomembrane enterrée, qui protège sa périphérie immédiate de l’évaporation.
En cas de source de chaleur en sous-sol (chaudière notamment), les échanges thermiques à travers les parois doivent être limités par une isolation adaptée pour éviter d’aggraver la dessiccation du terrain en périphérie.
Les canalisations enterrées d’eau doivent pouvoir subir des mouvements différentiels sans risque de rompre, ce qui suppose notamment des raccords souples au niveau des points durs
Reste une solution un peu bâtarde, avec quelques risques (voir expérience de KIKI), c'est celle de reprendre les résultats de l'étude de sol du voisin.
Rappelles-toi qu'actuellement en France, des milliers de propriétaires de MI, qui ont des maisons sinistrées par suite de sécheresse n'ont pu obtenir le bénéfice du classement cat nat. Ils pleurent !
A toi de jouer
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
C'est une excellente chose !
Cela doit lié à l'existance, dans la commune, d'un "plan de prévention des risques naturels prévisibles" (code de l'environnement).
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
J'ai dû mal à trouver dans ce texte, ce qui dit qu'1m20 n'est pas suffisant, il reste tout de même vague comme texte
maintenant, je vais pas me prendre plus la tête, je vais déjà voir avec mon BE les fondations qu'il me précosnise avec l'étude de sol du voisin car de toute façon, je ne vois pas comment ça pourrais être pire que 7m d'argile, ah si, 8m mais je suis plus à 1m près.
J'attends le résultat de son étude avec impatience
Quand je dis 1,20 m n'est pas suffisant, il ne s'agit pas de la profondeur, mais des préconisations complémentaires.
Non, il n'est pas vague du tout. Et ce sont ces préconisations que retiendront les experts d'assurance et judiciaires en cas de sinistre, s'il n'y a pas eu d'étude de sol. D'ailleurs beaucoup de géotechniciens se basent sur celles-ci pour leurs conclusions. Les bureaux d'étude les connaissent également.
Donc pas de soucis pour toi. Tu as un BE, c'est un pro et il saura ce qu'il lui est nécessaire pour son étude.
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
cette phrase veut dire quoi :
Les fondations doivent être ancrées de manière homogène sur tout le pourtour du bâtiment (ceci vaut notamment pour les terrains en pente (où l’ancrage aval doit être au moins aussi important que l’ancrage amont) ou à sous-sol hétérogène. En particulier, les sous-sols partiels qui induisent des hétérogénéités d’ancrage sont à éviter à tout prix.
les fondations doivent être ancrées dans le bon sol ou bien dans l'argile ?
Les fondations sur semelle doivent être suffisamment profondes pour s’affranchir de la zone superficielle où le sol est sensible à l’évaporation. A titre indicatif, on considère que cette profondeur d’ancrage, qui doit être au moins égale à celle imposée par la mise hors gel, doit atteindre au minimum 0,80 m en zone d’aléa faible à moyen et 1,20 m en zone d’aléa fort. Une construction sur vide sanitaire ou avec sous-sol généralisé est préférable à un simple dallage sur terre-plein. Un radier généralisé, conçu et réalisé dans les règles de l’art, peut aussi constituer une bonne alternative à un approfondissement des fondations.
Si je fait une fondation de 1m20 suffisament ferraillée et un VS sur toute la surface de la maison + des chainages , cela suffira ?
Oui, bien sûr, il faut respecter l'ensemble de ces règles..
Excellente réaction! Je l'ai déjà dit ic, il faut toujours profiter d'avoir une pelle hydraulique proche du terain pour faire un petit sondage de reconnaissance!
Vous me faites rire! Ue étude de sol digne de ce nom vaut 20 à 30 k€ 'je peux vous en mettre des dizaines en copie sur si vous le voulez..) et.. pour une maison individuelle, on vous la fait payer 1 500 €..
Vous avez compris maintenant??
Ah bon?? Je ne demande qu'à le croire.. je voudrais tout de même connaître le fondement règlementaire de cette demande.. A priori, comme cela, je ne vois pas.. mais je ne suis pas un spécialiste de l'ADS et du Code de l'Urbanisme!
. Le PPRN donne des prescriptions. Jene suis pas sûr du tout qu'il puisse conditionner la prescription à la réalisatiopn d'une étude de sol!
"les fondations doivent être ancrées dans le bon sol ou bien dans l'argile ? " Dans l'argile bien sûr!! Sinon, les recommandations ne valent que si tu es dans l'argile!
"Si je fait une fondation de 1m20 suffisament ferraillée et un VS sur toute la surface de la maison + des chainages , cela suffira ? " Ben oui! Bien sûr! Il te faut jute en plus, la note de calcul de dimensionnement des fondations : largeur (puis hauteur en conséquence) et enfin ferraillage : c'est la seule pièce importante (il suffot de regarder les caractéristiques du sol prises pour ce calcul).
Moi, j'ajouterai juste une précaution que j'aime bien (les habitués du site le savent..) : réaliser la partie en infrastructure (les 1,00 de vide-sanitaire) en paraping à bancher : cela permet de ferrailler et de donner une rigidité incomparable à l'ensemble!
De plus, cle gros avantage, c'est qu'en auto-construction, c'est une technique accessible à un gamin de 6 ans!
Tu veux faire travailler les enfants de six ans Tu sais que c'est la cour d'assises Dis moi, c'est comme ça dans l'aministration ? vous faites bosser les gamins pendant que vous êtes appuyés sur vos manches de pelles
Si tu n'en est pas sur, n'en parle pas, ça n'apporte rien !
Tu veux dire que l'étude de sol n'est pas utile ? c'est idiot, nuisible
Et dire qu'une étude de sol vaut 20 à 30 k€, c'est également à coté de la plaque ! Le montant d'une étude de sol varie en fonction des dimensions de terrain, de la naure de l'immeuble qui va être construit, Etc, Etc, ...
Et si une étude de sol, même à 1500 € (c'est suffisant dans la majorité des cas pour avoir une bonne information) avait été faite pour chaque maison avant construction, nous n'aurions pas subit les catastrophes "sécheresse" des dernièeres années !!!
.
snoupy20 a la chance d'avoir un BET ! C'est lui qui prendra les bonnes décisions en fonction de la réalité du site et de la construction.
On ne peut définir que ce qu'on sait construire, mais on peut nommer quoi que ce soit. Paul Valéry.
Membre super utileEnv. 20000 messageSt Pierre Les Nemours (77)
Pour Pierre01 :
Le PPR ( Plan de Prévention des Risques) définit par le préfet peut être opposable au PLU.
Si dans le PPR, il y a obligation d'étude de sol, le Permis de construire doit comporter une étude de sol.
Certains départements pensent à faire cela pour éviter tout risque du à l'argile.
Il faut savoir que la reconnaissance d'état de catastrophe naturel du à l'argile coûte une fortune.
Le PPRN donne des prescriptions. Je ne suis pas sûr du tout qu'il puisse conditionner la prescription à la réalisatiopn d'une étude de sol Et c'est bien pour cela qu'il faut en parler FranceL Un forumeur aura certainement la réponse!
Ce ne sont pas directement les paramètres qui influent sur le coût de l'étude de sol.
LE coût dépend de l'accessibilité des lieux 'amenée du matériel), du nombre et du type de sondage (pressio, pénéro), de leur profonduer, du nombre d'essais demandés (notamment nombre de pressio), du nombre d'essais de laboratoire demandés (pour murs de souténemùent, murs enterrés, voiri, détemination de la perméablilité (infiltation des eaux pluvieales..)), si il est demandé des essais à la plaque (voirie, dallage, etc) et enfin, si il y a des reconnaissance de fondations existantes à réaliser (quelquefois à faire à la main..). Sasn compter, des campagnes de recherches de vide qui peuvent également être demandées.
Ce n'est pas une question de chance.. mais le choix du maître d'ouvrage!
Salut,
Pour moi c'était 6000 euros pour 2 sondages à 12 mètres et des fouilles mécaniques .et j'avais des devis de 8000 euros pour la même chose
Pierre01 bienvenu parmi nous
@+
Vu que je suis sur un post ou les gens on l'air callés en matiere de fondation : voici mon probleme.
Nous avons fait un G12 qui preconise de faire des pieux de 40 cm de diametre avec une profondeur de 7 mètres + 1.5mètres d'ancrage soit 8.5 mètres en moyenne.
Le probleme que nous avons, c'est qu'une ligne moyenne tension surplombe la construction et rend donc impossible l'intervention de la tarriere car celle-ci a une fleche qui depasse les 7.7mètres maxi.
Cette hauteur maxi est due aux 3 mètre reglementaire de distance mini avec la ligne moyenne tension.
Serait-il envisageable de faire des micro-pieux (la machine est plus petite et repond aux contraintes de hauteur) qui serviraient a stabiliser un radier.
Avez vous une autre solution a ce pb ?
ps : le cout budgeté pour les pieux actuels est de 12000 euro)
Qu'est ce qui justifie des pieux pour une maison individuelle?
Quelle est la nature du terrrain?
Pourquoi un radier ne suffit t-il pas?
Ou même une reconstitution de sol.
Combien y a t-il de peiux?
Quell effort reprenne t-il chacun?
Tout ce pour être se trouver sous une ligne moyenne tension : il ne faut avoir peur d'attraper une leucémie!
Je suppose que pour dimensionner le diam^ter des pieux, le BE a fait le calcul de la descente de charges : ce serait aussi interessant de la publier pour montrer au forumeur à quoi ressemble ces calculs (qui sont les seuls qui me semblent absoulment necessaires..).
J'aimerai bien voir l'étude de sol complète.
Pour répondre à ta question : bien sûr qu'il est possible de remplacer les pieux par des micro-pieux : le tout est de voir l'incidence financière.. et il faut que le BE reprenne ses études pour dimensionner les micro-pieux à la place des pieux!
qu'est ce qui justifie des pieux pour une maison individuelle?
Quelle est la nature du terrrain?
Pourquoi un radier ne suffit t-il pas?
Ou même une reconstitution de sol.
Combien y a t-il de eeiux?
Quel effort reprenne t-il chacun?
Pourquoi aucune réponse à ces questions.. pourtant essentielles!
bonjour a tous
voila mon probleme, suite a mon etude sol qui preconise micro-pieux, mon bet me dit que ces micro-pieux me couterait environ 50000 euros(25 pieux x 7 m),ceci etant hors budget , pensez vous qu'un autre type de fondations est possible, terrain en pente avec bon sol de 2.6m a 4.9 m.
Mon bet ma parle de micro-pieux par resistance aux glissements.
Votre BET vous a probablement parlé résistance par frottement latéral. Très sommairement, c'est la surface des pieux qui est en contact avec le sol encaissant qui engendrera une résistance à l'enfoncement suffisamment forte pour supporter votre ouvrage, la capacité de charge des pieux. Comme le sol semble de mauvais qualité dans les couches supérieures de 0 à 2,6 m, il faut que les pieux s'enfoncent suffisamment dans le sol de bonne qualité pour engendrer la capacité de charge.
Le prix réel pour de telles fondations sera celui des sociétés spécialisées. Il faut le leur demander car selon les conditions du marché, leur devis pourrait être différent du budget annoncé. N'hésitez donc pas pas à faire cette demande maintenant que vous avez une étude de sols en mains.
D'accord avec vous snoupy20... chez nous pour 27 pieux vissés à 7 mètres et capacité de ± 10 tonnes chacun ça donnerait moins de 20 000 Euros... mais faudrait tout de même voir l'étude de sol et discuter avec le bet de cricri06.
Je me suis mal exprimé... je voulais dire qu'il faut voir l'étude de sol et les recommandations pour mieux définir le coût, ce que nous serions prêts à faire si nous avions les détails.