Avis sur assurance pret immobilier

Bonjour,

Tout dépends de la compagnie par laquelle vous passez car elles ont des grilles d évaluation du risque médical qui different.
Mon beau frere était passé par un courtier qui est le seul à avoir un médecin conseil gratuit afin de choisir la meilleure compagnie par rapport à un risque médicale
lui avait un probléme de prostatite et il l avait bien aidé (il n avait pas eu de surprime)
xxxxxxxxxxxxxxxx

bon courage

Bonjour,

Il faut obligatoirement lancer une étude médicale pour connaitre le coût de la surprime éventuelle. Pour pallier un refus ou une surprime trop importante d'une compagnie, Mon conseil serait d'en solliciter plusieurs afin d'avoir un retour positif et un tarif intéressant.


Cordialement,

Bonjour,

Dans mon cas 34 ans, hypothyroïdie (traitement depuis plus de 15 ans) + hypertension (traitement depuis 15 ans). Surprime sur le décès (assurée que pour décès et invalidité).
Je paye en gros au total le même montant en assurance que mon mari mais lui est à 100% et moi 50%.

J'ai quand même le droit à un écrêtement de la surprime sur la partie assurance du PTZ car je rentre dans les conditions de la convention AREAS.

Je suis moi même en plein projet immo. Je devais acheter une maison, mais je me suis souvenu du questionnaire médical. J'ai préféré ne pas donner suite ( alors que nous allions au compromis ) de peur qu'un refus d'assurance ne soit pas considéré comme un refus de prêt. De plus, les assureurs, sont des radins pathologiques, je suis sur d'avoir mille exclusions ( que je préfère éviter avec un salaire pour deux )
Bref, j'étais déprimé.
J'ai quand même décidé de faire un devis auprès de la MACIF. Je suis stupéfait.
J'ai eu effectivement des soucis de santé l'année dernière. Le docteur soupçonne une maladie auto immune.
Bref, le bilan est rassurant mais cela pourrait jouer sur l'assurance. Je l'ai déclaré ainsi qu'un eczéma aux mains ( la formulation de leurs questions fait en sorte qu'on pense qu'il faut tout dire ), un urticaire aigue il y a 18 ans, et un asthme aux acariens. J'ai parlé de l'asthme parce que c'était mis dans le rapport de mon dermato en 1998. Figurez vous que je ne m'en souviens même pas. Je crois que cela avait été vaguement dit à la visite médicale de la sécu quand j'avais 13 ans ( donc il y a 21 ans).
J'ai une ventoline qui a 15 ans d'ancienneté. Par honnêteté, j'ai même déclaré une primo infection tuberculeuse survenue il y a 30 ans et une cure thermale pour colopathie fonctionnelle. Bref, que des trucs tout bidons. Mais on n'est jamais trop prudents.

J'ai reçu aujourd'hui les demandes de compléments d'information :
- les bilans de mon doc et un bilan sanguin pour la maladie auto immune ( C'est dispo, j'ai revu le doc il y a peu, de plus les bilans sont positifs et n'évoquent aucune certitude sur ma maladie auto immune)
Puis :
- La dernière radio du thorax. Hum hum, je n'en ai jamais fait.
- Un questionnaire médical par mon médecin traitant qui a du me prescrire une ventoline une fois dans sa vie avec 1000 infos sur mes poumons, mes maladies bronchiques... Est ce que je crache du sang ? est ce une dyspnée au repos, d'effort, sévère... Rien de tout ça, je n'ai aucun suivi particulier.
Je n'en revenais pas. Tout ça pour un asthme aux acariens tout bidon que je n'ai même pas ( mon chien tout pouilleux en est la preuve ).

J'ai contesté les bilans asthmatiques. Je suis en attente de réponse. Mon médecin est à 150 kms et ne saurait pas répondre. Dans ma nouvelle ville, aucun médecin ne saurait répondre aux questionnaires.
Je n'ai fait aucune crise de ma vie, et l'ai stipulé au service médical de la macif. J'ai remis un double du scanner abdomino pelvien qui voyait un bout de mes poumons l'année dernière. il faisait mention d'aucune anomalie sur la base des poumons, aucun épanchement pleural, des petits troubles ventilatoires d'aspect banal. Je pense que cela devrait lui suffire pour connaitre l'ampleur de mon asthme ( quasi inexistant). J'ai aussi précisé qu'aucune visite médical pour le travail n'avait mentionné de troubles particuliers.

Je vous tiens au courant s'il est positif de résister au caractère excessif des questionnaires.


Quoiqu'il arrive, je suis très enervé.
Il est quand même incroyable que personne ne se révolte sur les pratiques des banques et assurances. Elles ne prennent aucun risque. Par exemple, mon amie apporte 20% dans la maison sans crédit. Mais la banque le responsabilise comme co emprunteur. POurquoi ? Pour pouvoir saisir la maison en cas de problème. Elle a le droit de perdre sa part, d'être dans la m**** juste pour que la banque puisse toucher ses intérêts en toute tranquillité et récupérer son argent.
En revanche, quand les banques investissent lamentablement ( en grêce, sur des créances pourries ), elles ne rendent pas de compte alors qu'elles foutent des pays dans des sacrés situations.

Il en va de même pour les assureurs : on a le droit de payer, et on doit tout dire. En revanche, leurs questionnaires médicaux sont flous ( la commission des clauses abusives planche la dessus d'ailleurs), les conditions d'assurance encore plus. La transparence n'est que d'un côté. S'il arrive malheur, on vous accusera d'avoir omis un truc. On vous fera courir des risques à cause d'exclusion abusive. Une allergie aux acariens, et hop, on vous enlève toutes les ITT pour les maladies respiratoires.
En ce qui concerne la transparence, malgré les dires, il est bon de savoir qu'un tribunal a débouté une assurance qui a demandé la nullité du contrat a un homme qui avait oublié de mentionner son eczema. Le caractère bénin du trouble justifiait le fait qu'il ne l'ai pas mentionné car cela ne faisait pas prendre de risque à l'assurance.

Bref, à quand une vraie révolte contre un système odieux ou on ne prète qu'aux riches ( qui n'ont pas besoin de prêt ) et ou le moindre problème de santé est prétexte à n'importe quoi ( dans un monde pollué ou les nouvelles maladies seront légions )? Le même monde qui fait ce qu'il veut de notre argent sur les marchés financiers ?

Bref, le coup de gueule du soir

PS : si j'ai trop de problème, je n'emprunte pas. Je me demanderais juste pourquoi je me suis cassé la tête à être fonctionnaire pour payer un loyer à un proprio toute ma vie. Ma mère avait raison : la liberté c'est de ne rien posséder

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