Clause étonnante à l'achat d'un terrain

Je dirais (peut etre a tord) que ca ne concerne pas les futurs proprio
cette clause (aussi bizarre soit elle) etait entre l'ancien proprio et vous
entre vous et le furtur proprio, c'est (je pense) le genre de truc qui peut assez facilement disparaitre devant un notaire

Bonsoir

+1 : seules les servitudes enregistrées sont transmissibles aux futurs acquéreurs ;

les conditions ou clauses particulières stipulées dans l'acte ne sont valables qu'entre le vendeur et l'acheteur qui ont signé l'acte .

Bonjour,
Oui, mais pourquoi le notaire aurait-il laissé la mention "...et ce, même si le terrain est revendu..." ? pour faire plaisir au vendeur initial sachant que la mention n'aurait pas de valeur par la suite ?

Bonjour

Odilon44 a écrit:

Bonjour,
Oui, mais pourquoi le notaire aurait-il laissé la mention "...et ce, même si le terrain est revendu..." ? pour faire plaisir au vendeur initial sachant que la mention n'aurait pas de valeur par la suite ?

pour moi oui ;

à l'inverse : quand on a pas de précisions on croit que la condition particulière est "à perpette" : "l'acheteur s'engage à ne pas cloturer en pignon pour laisser un passage au profit du vendeur-voisin"...

il n'y a aucune précision disant : si l'acheteur revend le suivant fera ce qu'il voudra ET si le vendeur-voisin revend sont successeur n'en profitera pas... et ne pourra pas plus passer...

attention quand même que ces arbres ne soient pas inscrits je ne sais où en zone protégée : il arrive qu'on ait obligation de replanter ... et/ou obligation de demander autorisation avant d'intervenir (avec la tronçonneuse).
mais -pour moi- si c'est le cas ça aurait du être précisé => voir avec le notaire.

J'ai souvenir que la vendeuse du terrain avait dit que ce serait "ad vitam aeternam" mais cette dame semble se prendre pour ce qu'elle n'est pas...elle avait baptisé la rue au nom de son mari à l'époque (si si... c'est vrai )
J'ai envoyé un mail à mon notaire, je pense que c'est le mieux placé pour me répondre. Je vous direz ce qu'il en est.

Pardon..., je vous dirai...