Bonjour,
J'ai réalisé une étude de sol, a priori c'est du lourd, à mes frais, et là il s'avère qu'il ne correspondent pas au fondation prévu au
CCMI.
Donc ils vont modifier leurs
fondations, mais le point qui m'interpelle c'est que j'ai peur qu'il ne passe pas par une étude béton, peuvent ils se passer d'un bureau d'étude béton?
Si ils en prennent un est ce que ça sera à mes frais ou au leurs? puis je les obliger?
Cdlt,
Voici mon étude de sol j'ai fait un copier ils manquent 2 3 images.
1 – Mission selon la norme NF P 94-500
Il s'agit d'une mission de type G1+G2AVP au sens de la norme NFP 94-500 (Missions
Géotechniques Types – Révision Novembre 2013).
2 – Programme d’investigations
Nous avons réalisé, le 3 septembre 2015, les investigations géotechniques suivantes :
2 sondages destructifs notés RG1 et RG2, descendus à 5,0 m de profondeur ;
jumelés avec des sondages au pénétromètre dynamique, notés PD1 et PD2, arrêtés
à 5,0 m de profondeur sans obtenir le refus.
Les sondages ont été réalisés au moyen d’une sondeuse hydraulique de marque
SOCOMAFOR; les échantillons ont été prélevés à la tarière.
CONSTRUCTION D’UNE MAISON INDIVIDUELLE
Les sondages pénétrométriques ont été effectués au moyen d’un pénétromètre
dynamique de type B de marque TECOINSA.
Les résultats des investigations ainsi qu’un plan d’implantation sont fournis en annexe de
ce document.
3 – Documents à notre disposition pour cette étude
1 – Description du site
Le terrain étudié, est d’une superficie d’environ 650 m2,
Lors de notre intervention le terrain était nu, vierge de toute construction apparente.
Du point de vue topographique, le terrain ne présente pas de pente marquée ( < 5%).
Les sondages ont été nivelés par rapport à un regard EP fixé arbitrairement à la cote
100,00 NI (Nivellement Indépendant) dont la position est repérée sur le plan
d’implantation des sondages.
La topographie est globalement plane à l’échelle du projet. L’altimétrie de nos points de
sondage varie entre les cotes 99,30 NI et 99,50 m NI.
2 – Enquête documentaire
2.1 – Inventaire des risques naturels connus
Risque Aléa / sensibilité
Retrait-gonflement
(www.argiles.fr)
Inondations, remontées de nappe
(www.inondationsnappe.fr)
Pollution Pas d’odeur particulière détectée
Rayonnements ionisants (décret n° 2002-460
du 4 avril 2002) Département concerné
Cavités (www.cavites.fr) Pas de cavité répertoriée
Stabilité de terrain (www.prim.net) Pas d’aléa répertorié
Risque sismique Zone de sismicité 2
La liste des arrêtés de reconnaissance de catastrophe naturelle et leurs dates de
parution au journal officiel sont présentées ci-dessous.
MGO.15-0314 – Pièce n°001 – 1ère diffusion PAGE 7/29
CONSTRUCTION D’UNE MAISON INDIVIDUELLE
2.2 – Risque sismique
Le gouvernement a publié au journal officiel du 22 octobre 2010 deux décrets relatifs au
nouveau zonage sismique national et un arrêté fixant les règles de construction
parasismique telles que les règles Eurocode 8. Il s’agit des documents suivants :
o décret n° 2010-1254 relatif à la prévention du risque sismique ;
o décret n° 2010-1255 portant sur la délimitation des zones de sismicité du
territoire français ;
o arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction
parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite "à risque normal".
xxxx est situé en zone de sismicité faible (zone sismique 2) suivant cette
réglementation. Dans ce cas l’analyse sur la liquéfaction des sols n’est pas nécessaire.
Toutefois dans le cas de bâtiments entrant dans la catégorie d’importance III ou IV (ERP
de catégories 1, 2 et 3, bâtiments pouvant accueillir plus de 300 personnes, habitations
collectives et bureaux d’une hauteur supérieure à 28 m,...) au sens de la nouvelle
réglementation parasismique applicables aux bâtiments, l’Eurocode 8 doit être appliqués.
Ce qui n’est pas le cas ici s’agissant d’une maison individuelle.
2.3 – Risque de rayonnement ionisant
Le radon est un gaz radioactif qui provient de la dégradation de l’uranium du sous-sol. Il
reste diffus dans l’air mais a tendance à se concentrer dans les milieux fermés, tels que
les bâtiments par exemple.
Le projet est situé dans un département prioritaire pour la protection générale des
personnes contre les dangers des rayonnements ionisants (présence potentielle de
radon). Il conviendra donc de se référer au décret N°2002-460 du 4 avril 2004 pour la
conception du projet.
3 – Contexte géologique
D’après la carte géologique de Plabennec au 1/50000e et notre connaissance du secteur,
les terrains devraient être constitués sous des horizons de recouvrement (limons,
argiles), par un substratum granitique plus ou moins altéré sous forme d’arènes en tête.
MGO.15-0314 – Pièce n°001 – 1ère diffusion PAGE 8/29
Les sondages ont rencontré de la terre végétale marron-foncé et des limons
végétalisés sur 0,8 m à 0,9 m d’épaisseur, puis des limons argileux ou des argiles
limoneuses de faible, voire très faible compacité, reconnus jusqu’à 1,5 à 2,4 m de
profondeur et enfin des arènes argilo-sableuses et sablo-limoneuses beige-foncé de
bonne compacité observées jusqu’à la base de nos sondages vers 5 m de profondeur.
Lors de notre intervention, le 3 septembre 2015, nous avons identifié un niveau d’eau en
au droit du sondage RG1-PD1, en cours de forage vers 2,8 m, en fin de forage vers
3,8 m et en fin de chantier vers 3,6 m sous le niveau du terrain actuel (niveau non
stabilisé).
Il ne s’agit pas forcément des niveaux les plus défavorables et il est possible de
rencontrer des venues d’eau à la circulation anarchique à différentes profondeurs en
fonction des conditions météorologiques et saisonnières. Des circulations d’eau peuvent
aussi s’établir en profondeur au sein du réseau de fractures de la roche.
L’intervention ponctuelle du géotechnicien dans le cadre de la réalisation de l’étude
confiée ne lui permet pas de fournir des informations hydrogéologiques suffisantes pour
apprécier la variation inéluctable des nappes et circulations d’eau qui dépend notamment
des conditions météorologiques. Pour obtenir des indications plus précises, la pose de
piézomètre et son suivi, ainsi qu’une étude hydrogéologique pourront nous être confiés.
Les coupes des sondages figurent en annexe.
4 – Permeabilite
Un essai de perméabilité a été réalisé au droit de la zone potentielle d’infiltration des
eaux pluviales à 0,75 m de profondeur, et a permis de mesurer des valeurs de
perméabilité K de l’ordre de 7.10-7 m/s.
Cette valeur de perméabilité est très faible, cohérente avec la nature des sols
rencontrés.
Etude des fondations
1 – Description générale du projet
Cette étude concerne le projet de construction d’une maison individuelle,
Il est prévu de construire une maison individuelle de type RdC à R+1 sans niveau de
sous-sol d’une emprise au sol de l’ordre de 100 m2.
Le projet ne sera mitoyen à aucun existant.
A ce stade d’avancement du projet, les descentes de charge apportées par l’ouvrage et
la cote du niveau bas ne nous ont pas été communiquées. Nous avons supposé que le
niveau bas serait établi en profil rasant par rapport à la topographie du site.
2 – Orientation sur le(s) choix constructif(s) envisageable(s)
2.1 – Rappel des contraintes du site – insertion du projet
Nous rappelons que les investigations ont mis en évidence les points suivants :
Présence de sols sensibles à l’eau ;
Présence de sols compressibles sur des épaisseurs importantes (1,5 m à 2,4 m de
profondeur) ;
Terrain situé en zone de sensibilité forte vis-à-vis du risque de remontée de la
nappe.
2.2 – Fondations
Compte-tenu de la nature du projet et des résultats de nos investigations, nous
étudierons un mode de fondations de type puits ou massifs isolés ancrés dans les arènes
argilo-sableuses à sablo-limoneuses rencontrées à partir de 1,5 m à 2,4 m de profondeur
sous le niveau actuel du terrain.
On respectera un ancrage minimum de 30 cm dans l’horizon d’assise, ce qui pourra
conduire à des approfondissements du niveau d’assise en cas de présence de poches
remaniées, végétalisées ou de faible compacité.
Dans ce cas, les profondeurs hors gel seront respectées (0,5 m minimum par rapport au
niveau fini extérieur).
2.3 – Niveau bas
Compte tenu de la nature des sols de surface (sols compressibles sur des épaisseurs non
négligeables), nous recommandons la réalisation d’un plancher porté par les
fondations sur vide sanitaire ou sur vide de construction d’au moins 10 cm d’épaisseur.
3 – Etude de la solution de fondations superficielles selon l’EC7
La présente étude a été réalisée en référence à l’Eurocode 7 et à sa norme d’application
NFP 94-261, pour des fondations respectant les conditions d’ancrage du paragraphe 2.1,
dans des formations en place et non remaniées.
3.1 – Portance
Pour une semelle isolée respectant les préconisations du § 2.1 ci-dessus, la pression
limite nette calculée sur une épaisseur de 1,5B sous la base de la fondation est :
Ple* = 1,04 MPa (par corrélation avec le pénétromètre dynamique)
kp = 0,8 (pour un encastrement relatif De/B> 0)
i = 1 (charges supposées verticales)
iβ = 1 (charge éloignée de tout talus)
Ainsi, les contraintes de calcul sont, en négligeant q0:
q’ELU = 0,50 MPa
q’ELS = 0,30 MPa
3.2 – Tassements
En l’absence d’information sur les descentes de charges apportées par l’ouvrage, nous
avons estimé les tassements, pour une semelle carrée de 0,8 m de côté (valeur indicative
à réévaluer en fonction des descentes de charges réelles) respectant les préconisations
du § 2.1ci-dessus, et soumise à une contrainte verticale 0,30 MPa à l’ELS. On obtient des
tassements compris entre le centimètre et le demi-centimètre.
Ces tassements s'entendent pour des fonds de fouille homogènes et non remaniés.
En dehors de toute considération de descente de charge, la largeur des massifs ne devra
pas être inférieure à 0,6 m.
3.3 – Préconisations de réalisation des fondations
Les sols d'assise sont très sensibles à l’eau. Les fonds de fouille seront
bétonnés immédiatement après excavation.
Le terrassement des fondations devra être exécuté à sec sous la protection éventuelle
d’un blindage sur la hauteur des terrains instables et d’épuisement. La profondeur de ce
blindage sera adaptée au niveau d’eau rencontré en phase chantier.
On veillera à ne pas ancrer les fondations dans des terrains remaniés par des opérations
de démolition/reconstruction antérieures. Des restites compactes (bloc béton...)
peuvent exister superficiellement dans ce type de terrain. A leur rencontre ces points
durs devront être purgés.
Des approfondissements locaux pourront être nécessaires en cas de surépaisseurs de
sols compressibles et/ou de sols remaniés par les terrassements et les intempéries. On
respectera les conditions d’ancrage du § 2.2 ci-dessus et les règles relatives aux
fondations posées à des niveaux différents (cf. ci-dessous).
L'homogénéité des fonds de fouilles sera soigneusement vérifiée et les éventuels points
faibles et zones remaniées mis à jour seront purgés et remplacés par du gros béton.
Le cas échéant, les règles relatives aux fondations posées à des niveaux différents
devront être respectées :
Massifs isolés ou puits
H
tan =
L
H
L
2/3 et H < 0,50 m
Schéma de principe de la règle relative aux fondations posées à différents niveaux
4 – Sujétions de conception et d’exécution
4.1 – Modalités des terrassements
Les terrassements pourront être réalisés avec des engins de terrassement classiques
dans les terrains mis en évidence au droit des sondages. Au sein des arènes, les
rendements pourraient être réduits.
L’emploi d’engins puissants voire de déroctage (de type outils désagrégateurs spécifiques
ou BRH par exemple), sera nécessaire dans de restites du substratum résistant et
éventuellement en cas de présence d’anciens vestiges de constructions antérieures.
Nous attirons toutefois l’attention sur les basses fréquences de vibrations générées par
les BRH, hautement préjudiciables aux constructions situées à proximité. L’entreprise
intégrera dans sa méthodologie des dispositions permettant d’éviter de déstabiliser les
existants.
D’une façon générale, l’entreprise devra adapter sa méthodologie d’exécution des
travaux (terrassement, compactage,...) afin d’éviter de déstabiliser les bâtiments
avoisinants et situés dans la zone d’influence des travaux.
Les terrains rencontrés sont sensibles à l'eau, leur portance peut varier pour de faibles
variations de leur teneur en eau pour devenir quasiment nulle. De ce fait, les travaux de
terrassement devront être réalisés en période sèche sous peine de limiter la portance et
la traficabilité des plates-formes susceptibles de générer des arrêts de chantier.
Ainsi, les terrassements devront être interrompus dès l'arrivée de la pluie et les fonds
de forme refermés au moyen d'une niveleuse et d'un compacteur avec une pente de
l'ordre de 2 % orientée vers un exutoire.
Si cela n’était pas réalisé, il faudrait assainir la plate forme en substituant l’épaisseur de la
couche en état hydrique élevé, de faible portance par de la GNT mise en œuvre sur un
non tissé.
4.2 – Précautions vis à vis de la nappe
Le projet ne prévoit pas de niveau enterré.
Quoi qu’il en soit, il y a aura lieu de prévoir un drainage adapté permettant de conserver
l’écoulement naturel des eaux souterraines.
Dans le cas où un vide-sanitaire serait prévu, il devra être drainé pour éviter les
stagnations d’eau sous la maison.
5 – Aléas prévisibles de chantier (non exhaustifs)
Présence de sols sensibles à l’eau.
Présence de sols compressibles sur des épaisseurs importantes (1,5 m à 2,4 m de
profondeur) imposant la mise en place de puits blindés vers 1,8 m à 2,7 m de
profondeur.
Terrain situé en zone de sensibilité forte vis-à-vis du risque de remontée de la
nappe.
Sols très peu perméables.
Ebauche dimensionnelle du dispositif
de gestion des eaux pluviales
Comme indiqué dans la première partie de l’étude, la perméabilité mesurée est très
faible, cohérente avec la nature des sols rencontrés, et incompatible avec un dispositif
d’infiltration des eaux pluviales en surface.
Nous rappelons par ailleurs que le terrain est situé en zone d’aléa fort vis-à-vis du risque
de remontée de la nappe.
Dans ces conditions, nous vous proposons d’opter pour un dispositif de rétention avec
débit de fuite et sans dispositif d’infiltration (le plus adapté au site).
Les éléments de calcul sont présentés en annexe.
1 – Méthode de calcul
En ce qui concerne le sol, nous adopterons les hypothèses suivantes :
Perméabilité : on retiendra k = 7.10-7 m/s
Nappe : > 5 m de profondeur (à confirmer par un suivi piézométrique)
Il convient de définir, en fonction des aires couvertes, le volume à stocker (V) pendant
la pluie de durée t, différence entre le volume arrivant (Va) et le volume infiltré (Vi)
dans le sol : V = Va - Vi
Les dispositifs présentés ci-dessous sont dimensionnés en fonction du débit généré par
la pluie de référence sur l’ensemble de la toiture. Les éventuelles voiries ne sont pas
prises en compte dans ce dimensionnement. Ici, la parcelle étudiée a une surface de
650 m2 et la surface imperméabilisée par le projet (hors voirie et zones de parking) est
de 100 m2.
En contexte péri-urbain ou résidentiel, nous proposons de retenir une pluie de
référence pour une période de retour de 20 ans. Il appartient au maître d’ouvrage
de nous confirmer cette information.
Un trop plein avec évacuation gravitaire est à prévoir pour évacuer les eaux
correspondant aux précipitations dépassant cette période de retour.
2 – Débit de fuite considéré vers le réseau public
N’ayant pas d’information sur le débit de fuite autorisé par la commune, nous
considérerons un débit de fuite de : qf = 3 l/s/ha.
Soit un débit total de Qf = 1,95.10-4 m3/s pour la surface considérée (S=0,065 ha).
3 – Intensité de pluie – Volumes à stocker
Les débits les plus élevés étant générés par des pluies intenses et courtes, le calcul des
débits instantanés associés aux intensités de précipitation estimées selon la formule de
Montana pour des durées de pluies comprises entre 6 minutes et 6 heures, sur la base
des coefficients proposés par Météo France pour la station de Rostrenen.
Nous avons estimé l’intensité de pluie en fonction du temps de précipitation selon la
formule de Montana.
Le débit d’apport pour une intensité de pluie vingtennale qui en résulte est :
Q = i .c.A.F
Avec i = a.t-b mm/min
Pour la région de Rostrenen : a = 3,1
b = 0,506 pour 0 < t < 20 min
et a = 4,17
b = 0,61 pour 20 < t < 360 min
A= 0,010 ha (surface imperméabilisée)
F = 1,25 pour une pluie vingtennale
et c= 0,9 (coefficient retenu pour les surfaces imperméabilisées du projet)
4 – Dispositif de rétention avec débit de fuite
(Voir calcul en annexe)
Pour un débit de fuite de 3l/s/ha, et une surface imperméabilisée de 100 m2
(hors voirie et parking), un dispositif de rétention de 2 m3 devra être créé
afin de réguler les rejets vers le réseau superficiel (fossé ou autres) : il pourra
s’agir d’une cuve en béton ou équivalent, avec débit d’ajutage et sur-verse
pour des événements exceptionnels.
Nous rappelons que le terrain est situé en zone d’aléa fort vis-à-vis du risque
de remontée de la nappe. Par conséquent, la fosse devra être dimensionnée
vis-à-vis des sous-pressions.
Le présent rapport conclut la mission d’étude géotechnique d’avant projet G2AVP
confiée à xxxx
Selon la norme NF P 94-500, elle doit être suivie d’une mission d’étude géotechnique de
projet G2PRO visant notamment à reprendre et/ou préciser les points qui demandent
une analyse spécifique, par exemple (liste non exhaustive) :
Dimensionnement des fondations en fonction des descentes de charges réelles et
de la position définitive du pavillon,
Définition des modalités et du programme de suivi des travaux géotechniques par
un géotechnicien dûment mandaté, dans le cadre d’une mission de supervision
géotechnique de type G5.
Ces points pourront nécessiter un programme d’investigation complémentaire.
Selon l’enchaînement des missions au sens de la norme NFP 94-500, après la mission
G2PRO, les études géotechniques d’exécution doivent être établies dans le cadre d’une
mission G3 et une mission G4 de supervision géotechnique d’exécution des travaux doit
être réalisée.