Isolation chape et doublage placo : comment procéder ?
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Bonjour,
C'est notre premier post sur ce forum...Et certainement pas le dernier !
Notre maison ossature bois est hors d'eau hors d'air et isolée (ouate de cellulose insufflée) depuis le mois de mars. C'est une "petite" maison de 66m² habitables (80 m² de surface totale) répartie sur deux étages. Si nécessaire, on pourra présenter notre projet dans la rubrique appropriée.
Maintenant que nous finalisons le bardage (il ne reste plus grand chose à couvrir) et sommes en attente sur d'autres chantiers, nous en arrivons à la pose des ossatures métalliques du placo (certainement plutôt du gyspolignum). Ça parait simple comme ça, mais ça pose question.
A l'heure actuelle, les murs sont recouverts du frein vapeur qui contient la ouate de cellulose, lui même maintenu par des languettes d'OSB 10cm fixées dans les montants de l'ossature. La dalle est quant à elle brute.
Après pas mal de tergiversations, nous avons déterminé qu'il fallait commencer par le doublage des murs : notre temps est limité, (on bosse à temps plein et on a tout l'intérieur à faire en plus de la phyto et de l'atelier) et plusieurs corps de métiers ont besoin que la chape liquide soit coulée pour intervenir.
Il est prévu que la dalle soit recouverte d'un isolant projeté (polyuréthane) et d'une chape liquide.
L'artisan en charge de faire l'iso nous indique que nous devrions faire nos doublages avant qu'il intervienne et ça nous interpelle car on a un peu peur au pont thermique en bas de cloison.
Si vous avez l'expérience de mise en œuvre de placo dans un système constructif similaire, vos lumières sont bienvenues !
Merci
C'est notre premier post sur ce forum...Et certainement pas le dernier !
Notre maison ossature bois est hors d'eau hors d'air et isolée (ouate de cellulose insufflée) depuis le mois de mars. C'est une "petite" maison de 66m² habitables (80 m² de surface totale) répartie sur deux étages. Si nécessaire, on pourra présenter notre projet dans la rubrique appropriée.
Maintenant que nous finalisons le bardage (il ne reste plus grand chose à couvrir) et sommes en attente sur d'autres chantiers, nous en arrivons à la pose des ossatures métalliques du placo (certainement plutôt du gyspolignum). Ça parait simple comme ça, mais ça pose question.
A l'heure actuelle, les murs sont recouverts du frein vapeur qui contient la ouate de cellulose, lui même maintenu par des languettes d'OSB 10cm fixées dans les montants de l'ossature. La dalle est quant à elle brute.
Après pas mal de tergiversations, nous avons déterminé qu'il fallait commencer par le doublage des murs : notre temps est limité, (on bosse à temps plein et on a tout l'intérieur à faire en plus de la phyto et de l'atelier) et plusieurs corps de métiers ont besoin que la chape liquide soit coulée pour intervenir.
Il est prévu que la dalle soit recouverte d'un isolant projeté (polyuréthane) et d'une chape liquide.
L'artisan en charge de faire l'iso nous indique que nous devrions faire nos doublages avant qu'il intervienne et ça nous interpelle car on a un peu peur au pont thermique en bas de cloison.
Si vous avez l'expérience de mise en œuvre de placo dans un système constructif similaire, vos lumières sont bienvenues !
Merci
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Nouvel Aviseur
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0 Membre ultra utile 0 Membre ultra utileBonjour et merci pour ces premières réponses dont nous prenons bonne note.
Entre temps, notre artisan principal nous a précisé ses étapes de mise en œuvre. Chez nous, il se cantonne au gros œuvre mais il assure régulièrement la pose des doublages, cloisons et plafonds sur ses autres chantiers.
Voici sa réponse :
Et il précise : "Cette méthode que nous avons mis en place depuis plusieurs années ,nous permet de commander les montants et plaques de placo à 2.5 m et de ne faire aucune recoupe de celui-ci ( gain de temps et de matière )."
L'entreprise qui viendra projeter la mousse PU et nous a indiqué de poser les doublages et les cloisons avant son intervention intervient sur l'ensemble des chantiers de notre artisan... Et ils se contredisent ! De quoi nous remettre encore un peu plus dans le doute
Plaquisteheureux :
Les languettes d'OSB sont fixées sur les poutres en I/montants en bois, soit avec un entraxe de 60 cm.
Voici les photos que vous avez demandées. J'espère que ça sera plus clair :
Et voici une photo de la mise en œuvre du frein vapeur. La seule photo que j'ai de cette étape est prise au R+1 mais c'est la même chose qu'en bas.
Entre temps, notre artisan principal nous a précisé ses étapes de mise en œuvre. Chez nous, il se cantonne au gros œuvre mais il assure régulièrement la pose des doublages, cloisons et plafonds sur ses autres chantiers.
Voici sa réponse :
- Pose de l’isolant projeté
- Pose de la chape
- Pose du plafond
- Pose du placo périphérique
- Pose des cloisons
Et il précise : "Cette méthode que nous avons mis en place depuis plusieurs années ,nous permet de commander les montants et plaques de placo à 2.5 m et de ne faire aucune recoupe de celui-ci ( gain de temps et de matière )."
L'entreprise qui viendra projeter la mousse PU et nous a indiqué de poser les doublages et les cloisons avant son intervention intervient sur l'ensemble des chantiers de notre artisan... Et ils se contredisent ! De quoi nous remettre encore un peu plus dans le doute
Plaquisteheureux :
Les languettes d'OSB sont fixées sur les poutres en I/montants en bois, soit avec un entraxe de 60 cm.
Voici les photos que vous avez demandées. J'espère que ça sera plus clair :
Et voici une photo de la mise en œuvre du frein vapeur. La seule photo que j'ai de cette étape est prise au R+1 mais c'est la même chose qu'en bas.
0 Nouvel AviseurUn petit 
et bonjour !
On va suivre les préconisations de plaquisteheureux qui vont dans le sens de l'entreprise qui va projeter la mousse PU et on projette de le faire tant pour les doublages que pour les cloisons. Ça va retarder un peu d'autres phases mais ça nous semble préférable d'autant qu'on a cru comprendre que procéder ainsi pour les cloisons distributives permettaient une meilleure iso phonique. Comme au RDC on a les toilettes et la salle d'eau, c'est préférable !
Se pose maintenant la question du film polyéthylène 100µm qui est facile à trouver pour les doublages (largeur totale 25.2 cm) mais moins pour les cloisons distributives (largeur totale 41.4 cm).
Après plusieurs jours de recherche on ne trouve pas de largeur 45 ou 50 cm. J'ai donc encore quelques questions :
Sur l'épaisseur du film :
- Les 100µm, c'est le minimum ? Si on trouve plus épais (150 ou 200 µm), on reste dans les clous ?
- Est-ce qu'il est possible de scotcher deux sections de films pour assurer l'étanchéité de pied de cloison ?
- Le cas échéant, avec quel type de scotch effectuer cette jonction et comment la mettre en œuvre pour rester dans les règles de l'art ?
Merci !
et bonjour !
On va suivre les préconisations de plaquisteheureux qui vont dans le sens de l'entreprise qui va projeter la mousse PU et on projette de le faire tant pour les doublages que pour les cloisons. Ça va retarder un peu d'autres phases mais ça nous semble préférable d'autant qu'on a cru comprendre que procéder ainsi pour les cloisons distributives permettaient une meilleure iso phonique. Comme au RDC on a les toilettes et la salle d'eau, c'est préférable !
Se pose maintenant la question du film polyéthylène 100µm qui est facile à trouver pour les doublages (largeur totale 25.2 cm) mais moins pour les cloisons distributives (largeur totale 41.4 cm).
Après plusieurs jours de recherche on ne trouve pas de largeur 45 ou 50 cm. J'ai donc encore quelques questions :
Sur l'épaisseur du film :
- Les 100µm, c'est le minimum ? Si on trouve plus épais (150 ou 200 µm), on reste dans les clous ?
- Est-ce qu'il est possible de scotcher deux sections de films pour assurer l'étanchéité de pied de cloison ?
- Le cas échéant, avec quel type de scotch effectuer cette jonction et comment la mettre en œuvre pour rester dans les règles de l'art ?
Merci !
0 Nouvel AviseurEn cache depuis le samedi 13 juillet 2024 à 05h20
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