Plus value

Absolument. C'est au constructeur de payer ce surcout, à plus forte raison si l'obligation de tuiles terre-cuite était mentionnée dans le réglement du lotissement (document que le constructeur a forcément demandé). Ne signez aucune demande d'avenant.

merci, de ta réponse j'ai rendez-vous avec mon constructeur samedi après midi je vais lui en faire part .

bonne journée à toi.

il essaye, on ne sait jamais...

mais surtout ne fait rien, il avait qu'a lire le reglement des le depart.

Ca va être dur, mais si t'est en ccmi (contrat de construction de maison individuelle), il ne peut pas te faire payer de plus value. tu es en prix ferme et définitif, tant pis pour lui!

Le pb, c'est de tenir tête lors de la discution, et d'arriver avec un argumentaire sur papier, pour éviter de se faire avoir, car ils sont de bon commreciaux ;)

Oui nous avons signé le contrat de construction le 15 04 2005.
merci *****

Comme dit Bastide, il n'avait qu'a lire le règlement dès le départ.

Tu lui dis que c'est son problème, et s'il revient à la charge, tu lui dis qu'un contrat est un contrat, vous avez signé un CCMI à prix ferme et définitif, sinon vous n'auriez pas choisi un constructeur s'il n'y avait pas cette condition.

Il faut lui faire dire que vous avez signés tous les deux un CONTRAT donc qu'il doit le respecter, point.

Merci olivier 25, c'est ce que je compte lui dire.

Comme je le dis souvent, ne soyons pas extrémistes...

Quelles sont les solutions ?

La première : le PC indique qu'il faut changer les tuiles bétons pour des tuiles en terre cuite. Cela équivaut, et je pèse bien mes termes, à un refus de PC ! Sweet peut donc dire à son constructeur que dans ces conditions, le ccmi est annulé. Ce peut être un moyen de négociation.

La seconde : comme la première, mais c'est aussi un moyen de se désengager. Mais alors, le nouveau constructeur prendra en compte cette remarque et la chiffrera : Sweet devra payer l'intégralité...

La troisième : le constructeur constate le refus du PC et prend acte que le contrat est nul... Sweet devra payer...

La dernière (selon moi) : sweet intente une action en justice longue et peut-être couteuse pour un résultat incertain...

Conclusion : la première solution paraît être la meilleure... Il vaut mieux chercher à négocier en se renseignant bien sur la plus-value réelle (et non celle annoncée par le constructeur).

Mais ce n'est que mon avis...

fmt a écrit:

Comme je le dis souvent, ne soyons pas extrémistes...

oui et non, l'architecte des bdf nous a rajouté une fenetre sur un pignon. Mon constructeur ne pouvait pas le deviner. La plus value étant très minime, nous avons signée. Par contre notre constructeur avait bien fait son travail, il avait d'emblée pris des tuiles plates etc...
J'aime pas la pratique de certains constructeurs qui pour faire signer le client vont partir sur des matériaux dont ils savent que ça ne passera pas et ensuite superbe plus value.
En plus les gens sont pris à la gorge car ils peuvent être hors délai pour la signature chez le notaire, offre de prêt...
Ou alors il n'a pas lu le POS ou PLU et là c'est un autre problème: incompétence

fab059,

Je suis d'accord avec toi. Mais cela n'enlève rien de ce que j'écris : si cela avait été pris en compte initialement, cela aurait été chiffré. Donc soit sweet avait la somme correspondante et il aurait pu continuer. Sinon il aurait dû arrêter. Aujourd'hui, il se retrouve dans la même situation. Enfin, presque, car il peut négocier avec son constructeur : soit la plus-value est partagée, soit il rompt le contrat.

Pour le délai vis-à-vis du terrain, il n'y a pas de problème non plus. En effet, si le proprio n'accepte pas un report de 2 mois, il perdra plus de temps à retrouver un nouvel acheteur...