Moi je voudrai que les clients du 77 se réunissent aussi, que l'on soit solidaire pour mener les mêmes actions.
On ne peut pas rester chacun dans son coin.
J ai appele la cgi bat, et la dame me dit "que vous êtes pres de la fin de chantier , et que la durée de reprise des travaux en cas de défaillance sera peut être long, vous pouvez engager les travaux si vous le souhaitez et rompre le contrat sans payer les 10% de résiliation de contrat si la société est en liquidation judiciaire.
C est sur que C est plutôt dans leur intérêt de me dire ca . Mais bon je devais être livré dans 2 semaines et il manque un escalier et une pompe a chaleur "simplement" sans compter d éventuelle malfaçon non decellee pour l instant. Si il y a liquidation, je sais pas si je pourrais attendre 3 mois de plus sachant que le reprise en cas de liquidation ne sera peut être pas avant septembre.
Je vais aussi voir l adil pour confirmer tout ca qui m a dit au téléphone que je peux éventuellement rompre le contrat sans payer les 10% si l entreprise déposé le bilan.
Je n ai pas payé les 2 derniers appels de fond pour ravalement mal fait et pour absence de dalle sur plots et il me reste 72000 euros sur le credit ( en espérant qu ils viennent pas me les réclamer , dc suffisant pour une pompe a chaleur et escalier). Mais bon comme bcp d entre vous, je paye deja le loyer et le credit, et ca devient lourd financièrement d attendre.
J'attends vos conseils et le 11 mai pour me décider .
Oui il faut qu on monte les dossiers tous ensembles , isolé on a un peu d impact . Il faut que ca soit les 200 personnes et non simplement les personnes du 37 ou 77, ( par exemple dans le 78 on est moins de 10 personnes à ma connaissance )
Bonjour oui tu peux rompre le contrat sans payer les 10% en cas de liquidation judiciaire c'est obligatoire.
Et pour se réunir moi je suis complètement d'accord mais proceduralement parlant ça va être très long et ils connaissent tellement bien les pirouettes pour ne pas payer ce qu'ils nous doivent, qu'au final je sais pas si nous serions gagnant.
Je vais voir avec le garant si ctvl se retirait des contrats volontairement, si lui il pourrait recommencer les travaux plus vite
Oui Tacha0787 c'est une très bonne question à poser:" si ctvl se retirait des contrats volontairement, si lui il pourrait recommencer les travaux plus vite"
merci
Oui c'est sur mais on va essayer.
Si ctvl se retirait volontairement des contrats ils sont obligés de reprendre sinon ça devient du pénal et ils le savent
Bonjour à tous,
Après cette nuit "blanche", je me demande quelle serait la meilleure solution, en ce qui me concerne mes fondations sont terminées et une entreprise de maçonnerie avait commencé à monter les murs. Hier soir, lorsque nous sommes allés voir il y avait environ 1 mètre de mur, le plancher du premier devait être livré mercredi je n'ai qu'une envie c'est d'aller sur mon terrain et tout défoncer à coup de masse.... Peut être qu'en faisant cela un autre constructeur voudra bien reprendre mon chantier, moins la somme que j'ai déjà versé à Ctvl, j'ai le droit de rêver ?
Bonjour à tous , comme beaucoup d'entre vous , nous avons reçu un sms hier soir nous informant de la situation . On est dégouté . Notre charpente est en place , le couvreur devait soit disant intervenir semaine prochaine ...il pleut pas mal en ce moment ... Et avec ce qui se passe c est pas tout de suite qu'on aura la couverture ... et notre charpente va pourrir ( ou pas je sais pas ) . Pour ma part j'ai lu pas mal de vos messages . En l'état actuel que faut il faire dans un premier temps ? Faut il attendre le 11 où commencer les démarches ? Merci à vous .
Rien ne t'empêche d'envoyer un recommandé à ton garant en expliquant la situation de ctvl qu'ils connaissent mais ça fait mieu et d'expliquer ou en est ton chantier.
Comme ça tu est couvert il ne pourront pas dit oui mais le mo ne nous a pas prévu dans le temps imparti
Hello à tous. Nuit de merde pour moi aussi. Pas de sms reçu, mais je suis tombé sur le message de baan sur son récit. Et j'ai vite fait le lien avec le carreleur que j'ai eu au tel hier et qui le disait arrêter tous les chantiers ctvl. Bon ca m'avait pas surpris vu que tous les autres attisants m'ont fait le coup jusque là de ne faire que la moitié des travaux et de faire une pause de x semaines / mois avant de finir. D'ailleurs j'ai plein de demi travaux réalisés à finir et un chantier degeulasse où ils ont laissé traîné toutes leurs merdes à la fin à chaque fois. Bref. La livraison devait être proche (1 mois environ mais avec ctvl on ne savait ps vraiment). Je suis également en train de me demander quoi faire. Et j'oscile entre rage et désespoir....
Merci de ta réponse tacha0787 , nous allons préparer ce courrier rapidement . Pareil très mauvaise nuit et ça va pas être la dernière ... Courage à tous et merci à vous tous pour vos précieux conseils .
Bonjour dans le même cas que vous j'ai reçu le sms hier soir je suis du 91
Je viens d'avoir l'agence de la ville du bois au téléphone il m'as dit qu'il fallait attendre le 22 mai et que normalement il y a déjà une société igc groupe maison d'en France qui rachèterai et reprendrais tous les chantiers à voir
Mais je suis dégoûter car on as déjà 6 mois de retard à cause de l'architecte du lotissement et la rien à encore commencer et on reçoit ce message le coup de masu
Relisez tous nos precedents posts les nouveaux svp car nous avons explique en details que ce soit vm28 tacha ou moi.
N oubliez suetout pas que notre principal interlocuteur sera l administrateur judiciaire et prevenez maintenant en Ar votre garant.
Pour info : le site de la poste vous permet d envoyer des AR en scannant vis pieces
Je fais construire à Rambouillet à la croisée des bois terrain vendu par la tepac j'aimerais entrer en contact avec des personnes de ce lotissement et des chantiers des alentours ayant Ctvl comme constructeur à plusieurs ce sera peut être plus facile pour les démarches que chacun dans son coin...
Attention, il se peut que des garants commencent par demander au maître d'ouvrage, c'est-à-dire à vous, acheteur, de payer une franchise de 5 % du prix initial. Mais cette franchise, qui est prévue au contrat de construction de maison individuelle (CCMI), n'est due qu'en cas de dépassement de prix par le deuxième constructeur, ce qui, par définition, ne peut être constaté qu'en fin de chantier... Vous n'êtes donc pas tenu de payer cette franchise tant que la maison n'est pas terminée. Cela étant, il y aura sans doute un supplément de prix qui justifiera le paiement de la franchise lors de la réception. Mais, compte tenu du retard qu'aura pris le chantier, vous pourrez alors proposer au garant d'opérer une compensation avec les indemnités de retard qu'il vous devra en vertu du contrat. En effet, le CCMI prévoit une indemnité égale à 1/3000 du prix de la maison par jour de retard, passé trente jours après la date de livraison prévue au contrat. Dernier point : avant d'accepter la reprise du chantier par un autre constructeur, vérifiez que celui-ci est bien assuré en responsabilité civile et décennale et n'oubliez pas de prévenir votre assurance dommages ouvrage du changement de constructeur.
La garantie de livraison dont doit justifier le constructeur avec lequel vous concluez un CCMI prend effet à compter de la date de la déclaration réglementaire d'ouverture du chantier, même si les travaux n'ont pas encore commencé (Cass. 3e civ., 26 juin 2002, n° 01-01350), et s'achève à la réception écrite sans réserve ou à la levée des réserves éventuelles. Il ne faut pas la confondre avec la garantie de remboursement, dont la vocation est de rendre intégralement au maître d'ouvrage les sommes versées avant l'ouverture du chantier.
En cas de défaillance du constructeur, le garant prendra à sa charge les dépassements du prix convenu nécessaires à l'achèvement de la maison, sous réserve d'une franchise légale de 5 % au maximum du prix prévu. Les dépassements sont appréciés par soustraction entre le coût total réel de la construction et le prix global stipulé au contrat (Cass. 3e civ., 20 janvier 1993, ¬n° 91-11905). Attention, certains garants conditionnent encore leur intervention au paiement préalable, par le maître d'ouvrage, de ces 5 % de franchise, alors même qu'il n'est pas encore établi qu'il y a bel et bien dépassement du prix, et dans quelle mesure. Ce, malgré une réponse ministérielle (RM Girard JOAN, 24 mars 1997) qui l'interdit et des rappels à l'ordre répétés de l'Agence nationale pour l'information sur le logement (Anil). Selon Jean-Luc Keribin, président de l'AGI, le surcoût engendré par la reprise d'un chantier de construction de maison individuelle est en moyenne de 24 % en l'absence de tout litige technique et de procédure. Soit, pour une maison de 150 000 €, 36 000 € pris en charge par le garant, hors franchise de 5 %, et 7 500 € mis d'office à la charge du maître d'ouvrage si le garant lui en réclame le paiement.
Cette pratique est d'autant plus condamnable que ce dernier a déjà supporté indirectement le coût de la garantie de livraison à prix et délais convenus, intégrée dans le prix par le constructeur. Le maître d'ouvrage peut donc refuser de s'y soumettre.
La garantie de livraison couvre aussi les conséquences du fait du constructeur ayant abouti à un paiement anticipé ou à un supplément de prix (coût de la construction sous-évalué, par exemple) et les pénalités en cas de retard de livraison excédant trente jours.
La garantie concerne non seulement les risques d'inexécution, mais aussi ceux de mauvaise exécution des travaux prévus. Le garant, qui devra s'acquitter des travaux d'achèvement du chantier, devra donc également prendre à sa charge la reprise des malfaçons à caractère non décennal (CA de Paris, 23e ch. section A, 18 octobre 2000).
En revanche, le garant n'est pas responsable du retard dans l'achèvement des travaux réalisés par le constructeur remplaçant (Cass. 3e civ., 4 juin 1997, n° 95-20416). De même, il n'a pas à dédommager les préjudices annexes subis par le maître d'ouvrage, tels que les frais de déménagement, d'hôtel, de garde-meubles, etc.
Quand devez-vous mettre la garantie en œuvre ? En cas d'arrêt des travaux ou de retard dans le délai de livraison, commencez par contacter le constructeur. Légalement, l'arrêt du chantier peut être justifié dans trois hypothèses : un cas de force majeure (incendie, par exemple), un cas fortuit (comme un vice du matériel), ou des intempéries rendant le travail dangereux (conditions atmosphériques ou inondations). Dans ce dernier cas, les périodes d'intempéries étant déclarées par l'entreprise à la caisse des congés payés du bâtiment, une attestation de cette dernière lui servira de justificatif. Et bien sûr, si l'interruption des travaux est le fait du maître d'ouvrage lui-même (non-règlement des acomptes, exigence de travaux non prévus au contrat, etc.), le constructeur est déchargé de toute responsabilité.
Une fois ces motifs éliminés, ou si aucune raison valable ne vous est donnée par le constructeur, et si l'arrêt se prolonge au-delà d'un délai « raisonnable », il faut sans tarder le mettre en demeure d'achever les travaux, par lettre recommandée avec accusé de réception, et surtout, prévenir le garant. Ce dernier doit en effet mettre en œuvre la procédure prévue à cet effet, en exigeant du constructeur qu'il reprenne le chantier. Si la reprise des travaux n'a pas eu lieu dans les quinze jours suivant sa mise en demeure, le garant devra désigner, sous sa ¬responsabilité, une entreprise pour prendre le relais.
Si l'arrêt du chantier est lié aux difficultés financières rencontrées par le constructeur, objet d'un redressement judiciaire, la procédure est différente : le garant doit mettre en demeure l'administrateur judiciaire de décider si le professionnel pourra ou non poursuivre l'exécution du contrat. À défaut de réponse dans le délai d'un mois, non prorogeable pour quelque raison que ce soit, ou en cas de réponse négative, il désignera le constructeur qui achèvera la maison. En cas de réponse positive, l'administrateur a quinze jours pour remettre les travaux en route. À défaut, là encore, le garant désignera d'office un constructeur remplaçant.
Dès lors que le chantier est repris par un tiers, sous la responsabilité du garant, ce dernier pourra bien sûr exiger de percevoir directement les appels de fonds correspondant aux travaux qu'il fait effectuer dans les conditions prévues au contrat.
Bonjour, je fais construire dans le 91 avec CTVL.
Notre maison en est au stade hors d'eau + quasi hors d'air (manque une fenêtre ) ...
Nous sommes désemparés de ces dernières nouvelles... Nous sommes sans domicile à partir de fin juin...
contrairement à beaucoup d'entre vous, nous avons eu la chance d'avoir un CT en or... C'est même lui qui nous a prévenu de la situation dès qu'il l'a su...
Lundi nous allons écrire au garant pour qu'il prenne acte de l'état d'avancement de notre chantier...
En tout cas, même si tout cela est vraiment flippant pour la suite, ça fait du bien de voir que nous ne sommes pas tout seul...
En principe, il revient au garant de désigner le repreneur chargé de l'achèvement des travaux. Mais si la construction a atteint le stade du hors d'eau (toiture et étanchéité réalisées), il peut vous proposer de choisir vous-même les entreprises qui se chargeront de l'achèvement... à charge pour lui de les payer directement au titre de la garantie. « À chaque situation, sa solution. Tout dépend de l'avancement du chantier. Si les travaux sont presque finis, on désigne le plus souvent un maître d'œuvre chargé de piloter les différents corps de métier. Parfois, le maître d'ouvrage peut même diriger les entreprises à lui tout seul. En revanche, un constructeur de maison individuelle s'impose en début de chantier. Il est choisi en général parmi nos clients constructeurs », explique Philippe Charpy.
En pratique, s'il est toujours facile de mettre en œuvre la garantie de livraison en cas de défaillance économique du constructeur, la procédure se trouve singulièrement ralentie lorsque l'arrêt du chantier résulte de ¬désordres ou de malfaçons. Certains garants répugnent en effet à intervenir, ne voulant pas se ¬substituer au triptyque huissier/expert/magistrat, qui évaluera le caractère décennal ou non des désordres. Si vous êtes dans ce cas, il faut insister, et saisir, le cas échéant, la justice pour obtenir gain de cause. La garantie de livraison couvre sans doute possible « tout manquement commis par le constructeur qui le conduit à ne pas respecter ses engagements » (Rép. min. Proriol, JOAN 7 décembre 1998).
De manière générale, la garantie de livraison fonctionne avec lenteur, l'intervention du garant n'étant encadrée dans aucun délai. La profession s'en défend en mettant en avant la difficulté de trouver des constructeurs prêts à reprendre un chantier au pied levé.
Responsabilité du garant
Il faut toutefois savoir que le garant peut voir sa responsabilité personnelle engagée s'il ne respecte pas ses obligations, si le travail du constructeur-repreneur laisse à désirer ou lorsqu'il n'a pas été assez diligent. Outre une condamnation à achever la construction, il peut être contraint à indemniser les préju – dices personnels subis par le maître d'ouvrage victime du retard de livraison, par exemple en versant des dommages-intérêts en réparation des pertes de loyers, moral et de jouissance (Cass. 3e civ., 6 février 2002, n° 00-16841).
Garantir le garant
Pour que la garantie de livraison soit effective, encore faut-il que le garant ait lui-même une assise financière solide. Ce qui n'a pas toujours été le cas : les faillites successives de la société de caution mutuelle Mutua Equipement en décembre 1997 et de l'assureur Compagnie Internationale pour le Développement (ICD) en janvier 2001 ont alerté les pouvoirs publics sur la fragilité des garants confrontés à une épidémie de sinistres. Deux fonds de garantie ont donc été mis en place, l'un pour les établissements de crédit (loi n° 99-532 du 25 juin 1999 relative à l'épargne et à la sécurité financière), l'autre pour les établissements d'assurance ¬ (loi ¬¬n° 2003-706 du 1er août 2003 relative à la sécurité financière). Ces fonds permettent au maître d'ouvrage d'être indemnisé, dans certaines conditions, en cas de défaillance éventuelle du garant. Jusqu'à ce jour, ils n'ont fonctionné chacun qu'une fois, pour les deux garants dont la faillite a occasionné leur création, Mutua Equipement et ICD.
L'indemnisation ou la reprise de l'engagement par le mécanisme de garantie des cautions des établissements de crédit ou des sociétés d'assurance est limité à 90 % du coût qui aurait dû être supporté par le garant défaillant, sans que la fraction non indemnisée puisse être inférieure à 3 000 € (art. R. 421-24-3 du Code des assurances). Mais attention, les fonds de garantie ne peuvent intervenir que pour les chantiers ayant fait l'objet d'un CCMI.
Cela étant dit, le risque de faillite du garant est devenu marginal, avec la concentration de cette profession, qui s'est resserrée sur son cœur de métier. Un certain nombre de banques, notamment, se sont retirées du marché, cédant la place à des spécialistes le plus souvent adossés à une compagnie d'assurance. Ce qui se traduit aujourd'hui dans les chiffres : « Le taux moyen de sinistralité pour les garanties de livraison s'élevait à 28 % en 2006. C'est un bon résultat, qui évolue peu », constate Jean-Luc Keribin, président de l'AGI et directeur général délégué de Covéa Caution (ex Le Mans Caution, groupe MAAF-MMA-GMF). Rappelons que le taux de sinistralité correspond au ratio financier entre le montant des sinistres à dédommager et celui des primes encaissées, le fameux rapport « sinistre à cotisation ».
Sans filets
La garantie de livraison n'est ¬certes pas parfaite. Mais elle a le mérite d'exister. Le maître d'ouvrage qui n'a pas conclu de CCMI se trouve, lui, totalement livré à lui-même en cas d'abandon de chantier. Quelques associations de défense du consommateur dans le domaine de l'habitat, tels que les Centres de conseil et d'assistance aux usagers de l'habitat (CDAU)(1) ou l'Association d'aide aux maîtres d'ouvrage individuels (AAMOI)(3), moyennant une adhésion, peuvent fournir un appui non négligeable, auquel il ne faut pas hésiter à recourir. Mais pour l'essentiel, vous êtes seul.
Mesures d'urgence
La première démarche à accomplir est de mettre le constructeur défaillant en demeure d'achever les travaux dans un délai déterminé, si possible n'excédant pas quinze jours. S'il ne fournit pas de motif valable et n'a pas repris les travaux dans le délai fixé, faites ensuite constater l'arrêt des travaux par un huissier de justice. En cas d'abandon de chantier avéré, vous pouvez engager une procédure en référé devant le tribunal de grande instance dans le ressort duquel est située la construction. Cette procédure permet de prendre des mesures urgentes dans l'attente d'une décision au fond. Le juge peut ainsi ordonner la reprise des travaux sous astreinte, c'est-à-dire moyennant le paiement d'une somme forfaitaire par jour de retard dans l'exécution, à la condition toutefois qu'il n'existe aucune contestation sérieuse relative à l'existence du contrat. Si le constructeur ne s'exécute toujours pas, il faudra agir en exécution forcée du contrat devant le tribunal de grande instance, et en cas d'échec, demander la résiliation du contrat aux torts de l'entrepreneur ainsi que des dommages-intérêts. Le juge pourra aussi ordonner l'achèvement des travaux par un tiers, sur le fondement des articles 1142 et 1144 du Code civil. Le constructeur défaillant peut être condamné à faire l'avance des sommes nécessaires à cette exécution. Mais vous devez, au préalable, avoir fait constater par huissier la carence de l'entrepreneur et désigner un expert pour déterminer le point d'arrêt des travaux. Le remplaçant désigné par le juge est souvent choisi par l'expert dans le cadre de sa mission.
Si la défaillance du constructeur est de nature économique, les chances pour le maître d'ouvrage de voir le chantier aboutir sans trop de pertes financières sont réduites à peu de chose. Dans le cadre du droit commun des faillites, il devra déclarer sa créance auprès de l'administrateur judiciaire désigné par le tribunal de commerce du siège social de l'entreprise (mentionné sur le devis ou le papier à en-tête du professionnel), et le mettre en demeure par courrier recommandé avec AR de se prononcer sur la poursuite ou non du chantier. En cas de refus ou de silence gardé pendant un mois, il n'a plus d'autre choix que d'engager une action devant le tribunal de grande instance pour résilier le contrat et obtenir des dommages-intérêts. Sans trop d'espoir : il n'est qu'un simple créancier chirographaire, ce qui signifie qu'il arrive loin derrière les créanciers privilégiés que sont les salariés, l'Urssaf ou le Trésor public.
Une situation qui peut être dramatique lorsqu'un emprunt court. Aussi ne faut-il jamais renoncer à la légère à la protection accordée par le CCMI lorsque l'on fait construire.
Laure Le Scornet
(1) L'AGI regroupe les garants suivants : CEGI (groupe Caisse d'épargne), CGI Bâtiment, Atradius, la caution mutuelle du Crédit immobilier, Covéa Caution (ex Le Mans Caution, groupe MAAF — MMA -GMF/filiale à 100 % des MMA), AIOI Insurance Company (n'est plus souscripteur), Euler Hermes Kreditversicherung (succursale d'un assureur allemand).
(2) www. perso.orange.fr/cdau/).
(3) Association agréée de consommateurs www.aamoi.info).
Certains messages sont exacts. Notamment ceux relatifs aux assurances.
D'autres sont totalement faux.
1- Seul 6 sociétés sont déclarées en cessation de paiements sur 17 selon les informations recueillies
2- Celles et ceux qui écrivent que tout le groupe le serait écrivent n'importe quoi.
C'est totalement faux et ne donnez pas le bâton pour être ensuite poursuivis pour diffamation. Imaginez les conséquences sur d'autres sociétés saines si des fournisseurs ou des banques tombaient sur ce forum: c'est irresponsable, vraiment. Quand on ne sait pas on s'oblige à ne rien écrire.
3- Les entreprises concernées représentent au total un nombre de chantiers important. Je n'arrive pas à avoir le nombre exact. Je ne peux donc que l'estimer entre 250 et 500.
4- Le repreneur vu le nombre de chantiers à finir, à arranger et à ouvrir ne peut être qu'un des leaders du marché et un des plus costauds financièrement et en termes de garanties financières et d'assurances.
Donc pour l'instant, pas de panique à bord, surtout pas d'insulte envers des dirigeants qui doivent être "mal" sur le plan psychologique et financier et surtout pas de désinformation pour juste la "ramener" quand on a des informations partielles et inexactes car ce forum est en train de partir en vrille de la part de quelques uns... Et de quelques unes dont l'une située dans le 77. Pour rester modéré, bravo à ceux qui apportent de la vraie information sans polémique sur les assurances.
Le Groupe Verspieren annonce un CA 2015 de 335 millions d'euros
Après une année 2014 marquée par le franchissement de la barre symbolique des 300 millions d’euros de chiffre d’affaires et de celle des 2 000 collaborateurs, le premier courtier en assurances français à capital familial poursuit son développement et renforce ses capacités de financement de nouveaux projets.
Malgré un climat économique difficile, et alors que le secteur de l’assurance connaît habituellement à retardement les effets négatifs de la conjoncture, le Groupe Verspieren poursuit son développement. Avec un chiffre d’affaires de 335 millions d’euros en 2015 (+ 3 % sur un an, + 30 % sur quatre ans), le troisième courtier en assurances (classement L’Argus de l’assurance, septembre 2015) conforte sa position d’acteur de référence du marché, sa croissance étant totalement organique pour cet exercice.
Et voilà déjà 7 mois depuis la levée des clauses suspensives 4 mois depuis la déclaration d ouverture de chantier et seulement des longrines de fondation de coulées
Le chantier totalise déjà au moins 2 mois de retard et CTVL passe en redressement
C est la merde
Oui c est la merde ... Et on est tous dans le même bateau ... Perso , je suis venue sur le forum pour trouver des réponses et surtout savoir ce qu il faut faire . Je trouve que les messages de 3 km c est bien et pas bien , on si perd tout de même et il y a beaucoup d info et sont elles fiables ?
Pour ma part et je parle pour baan et stef, et d'autre (DSL si j'en oublie) le info sont fondé.
Maintenant signalé toi à l'administrateur judiciaire j'ai le tel en mp
Envoi un recommandé à ton garant pour signaler l'état de ton chantier et la situation de ton constructeur.
Après y a plus qu'à attendre.
Je cherche une jurisprudence mais ce.n'est pas facile.
Chaque message à son importance que ce soit pour s'exprimer donner des conseils ou des infos, c'est long à lire mais.defois cela peut être bénéfique.
Je suis aussi dans une impasse quelle démarche devons nous entamé ? Doit on attendre le 11 mai ? Prendre contact avec une aide juridique, l'assurance ? Adhérer à l'amoi ? Je conçois que ce n'est facile pour personne mais aidons nous....
Carlo45 merci pour tes conseils pertinent qui arrivent à point nommé.
Quel perspicacité.
Tu a l'air d'en savoir beaucoup plus que certains d'entre nous sur la situation du groupe fou construction(LA BRANCHE CONSTRUCTION).
Peux tu.nous en dire un peu plus et détailler ton message.
Ou en est ta CONSTRUCTION
Pour info leurs état psychologique je m'en fiche.
Se soucie t'il de notre état.
Sont ils A la rue dans deux mois avec leurs enfants car ils n'ont pas su gérer notre argent.
Je pense ne pas être le seul dans cette situation et leurs problèmes je m'en fiche.
C'est eux qui fond de la m... Avec notre argent et c'est nous qui devons compatir.
Bonjour à tous, ça fait un moment que je vous lis sans intervenir et je dois dire que vos commentaires nous ont déjà beaucoup aidé ! On fait construire à côté de rambouillet également et nous on aurait du être livré le 29 avril... il ne reste que les joints de carrelage, pose WC et pac ! Désolant cette situation, il faut qu'on se batte et qu'on obtienne gain de cause. Il faut garder espoir même si c'est très difficile parfois. Au plaisir de vous lire...
Membre super utileEnv. 2000 messageVersailles (78)
Bonjour ptim, comme ça faisait longtemps qu'on t'avais pas vu, j'espérais que ton chantier était terminé et que tu étais passé au travers de ces problèmes... dommage....
On en est tous là, chacun je pense va prendre conseil la semaine prochaine, à nous de partager ceux-ci pour éclairer la plupart et choisir le recours et la procédure adaptés.
Mais il faudra utiliser plutôt les MP afin de ne pas prévenir les concernés de nos actions, on sait qu'il y a des taupes ici !!!
Membre super utileEnv. 2000 messageVersailles (78)
L'AAMOI n'est pas formel sur ce point.
Cependant, la demande de dommages et intérêts doit se faire avec l'abandon des pénalités de retard.
C'est le point qui a "irrité" CGI bâtiment dans mes échanges avec eux... forcément, une demande de dommages et intérêts pourrait leur couter beaucoup plus cher...
Bon, il va falloir attendre le 23 mai pour avoir un peu plus de visualisation sur la situation savoir si un des deux potentiels repreneurs reprendra le groupe. Et si oui sous combien de temps.
Membre super utileEnv. 2000 messageVersailles (78)
Pour être poursuivi en diffamation il faut être un peu + précis et "insultant"... mais peut-être voulez-vous faire peur aux forumeurs pour qu'ils ne s'expriment plus ?
D'autre part, ces inexactitudes ne sont jamais dues qu'au silence ou à la façon de communiquer de CTVL/Groupe Fousse... pourquoi certains ont reçu des SMS et pas d'autres ???!!...
L'un des repreneurs cités avait tellement bonne presse qu'on ne pouvait être qu'inquiet... (si tant est qu'on puisse l'être + qu'aujourd'hui...)
J'ai eu les dirigeants au téléphone plusieurs fois, tout comme un certains nombre de forumeurs : Non seulement ils ne sont pas mal mais se posent en victimes : les pôves actionnaires ont du sortir de l'argent (snif)) !!! alors qu'on sait très bien qui a conduit CTVL dans le mur (et dont le père ne parle pas très bien de lui au téléphone ...), et vous voudriez que je les plaigne en plus ????
Depuis quelque jours de nombreuses personnes débarquent sur ce forum, sans historique, sans site... on ne sait pas s'ils sont sous-traitants, assureurs ou de CTVL/Fousse...
Ce forum a la base était là pour que nous racontions le "projet de notre vie" comme la grande majorité sur FC, mais la réalité nous a très vite rattrapée, réalité réfutée par les CDT, DT et PDG depuis des mois... et pourtant aujourd'hui on en est où ???... au RJ...
Bonjour,baan je pense que certains d ' entre nous ont reçu un sms de leur CDT car ceux la sont " loyale" le notre s'excuse qu' ont et subir ca" ca montre que il y a quand même des BON CDT...il Nous annonce également que plus rien ne ce passera sur les chantier avant le 11 et que nous recevrons un courrier nous informant de la suite...
Membre super utileEnv. 2000 messageVersailles (78)
Bon, il va falloir attendre le 23 mai pour avoir un peu plus de visualisation sur la situation savoir si un des deux potentiels repreneurs reprendra le groupe. Et si oui sous combien de temps.
J'ai raté un post ? 23 mai ? c'est plus le 11 mai qu'il devait y avoir une décision du tribunal ??...
Bon, il va falloir attendre le 23 mai pour avoir un peu plus de visualisation sur la situation savoir si un des deux potentiels repreneurs reprendra le groupe. Et si oui sous combien de temps.
J'ai raté un post ? 23 mai ? c'est plus le 11 mai qu'il devait y avoir une décision du tribunal ??...
Bon, il va falloir attendre le 23 mai pour avoir un peu plus de visualisation sur la situation savoir si un des deux potentiels repreneurs reprendra le groupe. Et si oui sous combien de temps.
J'ai raté un post ? 23 mai ? c'est plus le 11 mai qu'il devait y avoir une décision du tribunal ??...
209 membres 27 contributions Ouvert il y a +10 ans
Ouvert à tous
Bonjour à tous les futurs propriétaires! J'ai créé ce groupe afin de pouvoir échanger et suivre l'évolution des constructions liés au groupe FOUSSE CONSTRUCTION ! (CTVL, DTT, Maison Kerbea,...)
N'hésitez pas à nous faire part de vos remarques concernant toutes les étapes de vos constructions. Des démarches administratives à la remise des clés.
A bientôt dans le Groupe "Nos constructions avec "Fousse Constructions"
CTVL: http://www.maisons-ctvl.fr/
DTT: http://www.maison-dtt.fr/
KERBEA: http://www.maisons-kerbea.fr/
COTE SOLEIL : http://www.maisonscotesoleil.fr/
http://www.groupe-fousse-constructions.fr/