Chez moi j'ai une hygroreglable...
et je pense que c'est adapté puisque justement elle agit en fonction de l'humidité... donc ça assainit d'autant mieux la maison
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
Oui c'est adapté, après perso je n'en ai pas mis mais prévu le passage. mes pièces humide sont aérées donc j'ai pris la décision de laisser tel quel mais si ca ne va pas, je mettrai en place une VMC ou juste un extracteur hygro.
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
C'est toute ma question, j'ai des aerateurs sur les fenetres (je sais bien que cela ne suffit pas en SDB) cela fait un an maintenant que j'ai changé les fenetres et qq semaines que j'ai isolé, si je vois que ca va pas je mettrais une Hygro (heureusement le mec est pas bete il a prevu le passage des gaines et l'elec)
De plus, nous avons décidé de changer les fenêtres mais d'isoler uniquement les combles et les rampants, ainsi que les deux murs extérieurs de la salle de bain...
Bonsoir, merci pour le site, nous avons trouvé un kit vmc Hygro variable à moins de 100 euros chez bricoman, savez vous la différence entre une hygrovariable et un hygroreglable?
J'ai acheté récemment un petit appartement dans un vieil immeuble. Je souhaiterais abattre une cloison.
J'ai contacté plusieurs artisans pour des devis. Le problème est que chacun me met en garde par rapport à différents points et je ne sais du coup plus quoi penser.
Certains sont prêts à enlever cette cloison (en fait une double cloison dans laquelle il y a un petit placard peu profond) car elle n'est pas porteuse.
Un autre me dit "attention, votre sol montre des faiblesses, il faut d'abord le réparer".
Un autre (qui se trouve être le petit fils de l'ancienne occupante, et qui donc connait déjà le bâtiment) me dit qu'il ne prendrait pas le risque d'enlever cette cloison car selon lui le sol du dessus s'affaisserait beaucoup.
Les sols sont constitués de petites poutres, et il n'est déjà pas droit, il est bombé à certains endroits et creux à d'autres.
Du coup, je ne sais pas quoi penser. Est-ce que je prends un réel risque et lequel ? Y'aurait-il une solution pour que je puisse quand même abattre la cloison, sachant que je comptais en remettre peut-être une un mètre plus loin.
Je dois également refaire les sols. Est-ce qu'une simple chape allégée avec fibre est suffisante, etc...
Evidemment je n'y connais rien.
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
Méfiez vous dans le vieux, les cloisons aussi petite soit elle peuvent avec le temps devenir semi-porteuse. Surtout dans un appartement il est pas question de se retrouver avec le voisin du dessus chez soi donc demander des avis surtout des gens connaissant les structures suivant l'année de construction. De toute manière il est difficile de vous répondre comme ça.
Je plussois: la salle de bain d'un de mes collègues c'est affaissée de 5 cm : la cloison semi-porteuse de sa voisine du dessous venait d'être supprimée...
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
Bonjour et bienvenue à toi jmc21. Perso j'ai rénové un maison de 1937 par l'intérieur avec 80mm de laine de verre et un ba 13 (voir sur mon récit) après isolation entre étages de 25 cm croisé laine de roche/laine de verre. Et depuis c'est top.
Ho, merci.
Pour le moment je m'informe surtout, car je suis à une étape critique. Je ne sais pas si dans les mois à venir je vais vendre ma maison ancienne ou la rénover. Bref, wait and see, en attendant, je viens apprendre.
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
Soit bienvenue ici n'hésites pas à poser des questions ici ou ailleurs ce forum est une mine d'information avec des connaisseurs qui répondent ou sont dans le même cas que toi.
Bonjour, je vais agrandir ma maison de campagne qui va devenir mon habitation principale. Il y a des travaux de rénovation à faire dans la partie existante et une extension dans une partie mitoyenne dont ne subsistent que les murs porteurs et la toiture. Le sol est en terre battue, il n'y a ni arrivée d'électricité, ni eau. Cette partie a aménager fait environ 30m2 et nous songeons y mettre une chambre, un dressing et une salle d'eau. Il faut évidemment construire un plafond qui servirait de plancher à un 1er étage aménageables. Je souhaiterai avoir des conseils pour démarrer ces travaux : doit on faire appel à un architecte ou à un maitre d'oeuvre? Quelle est la différence entre les 2? Y a t il une différence de cout? Comment faire pour choisir la personne sans se tromper? Un grand merci à tous pour vos réponses.
Membre utileEnv. 3000 messageForet De Montmorency (95)
Oula GROS chantier en perspective. tout est réalisable il suffit de bien faire et pour bien faire bien s'entourer...
La tu as une feuille blanche, tu comptes tout faire toi-même ou faire faire ?
Pour connaitre les personnes si tu parles des artisans, soi pénible et demande un maximum de papier officiel. et sinon oui passe par un maitre d'oeuvre qui sera le chef d'orchestre.
La différence entre un architecte ou à un maître d'oeuvre dépend il me semble de la surface à traiter au delà je crois de xxx m² l'architecte est obligatoire. différence de coût c'est sure
....
La différence entre un architecte ou à un maître d'oeuvre dépend il me semble de la surface à traiter au delà je crois de xxx m² l'architecte est obligatoire. différence de coût c'est sure
Bonsoir yaya, bonsoir à tous,
Quelques précisions en ce qui concerne les surfaces requérant prestation d'architecte (site internet de l'administration française , Service-public.fr) :
Le recours à un architecte est en principe obligatoire pour les travaux soumis à permis de construire.
Sont toutefois dispensés de recourir à un architecte, les personnes physiques (particulier, commerçant indépendant, artisan,profession libérale...) ou les exploitants agricoles qui déclarent vouloir édifier ou modifier pour eux-mêmes :
une construction dont à la fois la surface de plancher et l'emprise au sol de la partie de la construction constitutive de surface de plancher ne dépassant pas 170 m²,
une construction agricole dont à la fois la surface de plancher et l'emprise au sol ne dépassant pas 800 m².
L'intervention d'un architecte n'est pas obligatoire pour les travaux soumis à permis de construire qui portent uniquement sur :
l'aménagement et l'équipement des espaces intérieurs des constructions et des vitrines commerciales,
ou qui sont limités à des reprises n'entraînant pas de modifications visibles de l'extérieur.
La dispense s'étend à l'ensemble des personnes qui construisent en vue de conserver pour elles-mêmes la propriété de la construction, que celle-ci doit destinée à un usage personnel (résidence principale) ou à être donnée en location. Les demandeurs d'un permis de construire sont tenus de recourir à un architecte pour les projets de travaux sur construction existante conduisant soit la surface de plancher, soit l'emprise au sol de l'ensemble à dépasser l'un de ces plafonds. Il est possible d'obtenir gratuitement des conseils auprès d'un architecte du Conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement (CAUE) ou du service urbanisme de la commune où est situé le terrain.
En pratique, il faut retenir que recourir à un MO ou à un architecte -ou non, est laissé au choix du maître d'ouvrage jusqu'à 170 m2 inclus. La surface à considérer est celle à la fois de la surface de plancher et de l'emprise au sol de la partie de la construction constitutive de surface de plancher .
Les modalités de calcul de la surface de plancher depuis le 1er mars 2012 1) La surface de plancher est la somme des surfaces de plancher de chaque niveau clos et couvert. La notion de « clos et de couvert » implique que la construction comporte un système de fermeture (porte, fenêtre, grille, etc.)
Une construction qui ne comporte pas de mur de façade ou qui n’en comporte que partiellement n’est pas constitutive de surface de plancher (par exemple : un abri à voiture qui est simplement couvert).
Ne sont également pas à prendre en compte les balcons, les loggias, les terrasses car ce ne sont pas des surfaces closes et couvertes.
2) La surface de plancher est calculée à partir du nu intérieur des façades.
Jusqu’au 29 février 2012, la surface de plancher d’un niveau se calculait hors œuvre c'est-à-dire au nu extérieur des murs de pourtour. Elle était donc mesurée en prenant en compte l'épaisseur de tous les murs (extérieurs et intérieurs, porteurs ou constituant de simples cloisonnements) et de tous les prolongements extérieurs d'un niveau tels que balcons, loggias et coursives.
Depuis le 1er mars 2012, Il ne faut plus tenir compte de l’épaisseur des murs extérieurs, porteurs ou non.
3) Les surfaces à déduire sont pour certaines identiques à celles qui étaient déductibles dans le cadre du calcul de la SHON. Sont en effet toujours déductibles :
Les surfaces de plancher des bâtiments aménagés en vue du stationnement des véhicules.
Toutefois, l’article R.122-12 modifié précise qu’il faut aussi déduire de la surface de plancher, les rampes d’accès et les aires de manœuvre et qu’il s’agit de tous types de véhicules, motorisés ou non.
Les surfaces de plancher des combles et sous-sols non aménageables pour l’habitation ou pour des activités à caractère professionnel, artisanal, industriel et commercial
Les surfaces de plancher d’une hauteur inférieure à 1,80 m.
Sont également déductibles :
Les surfaces correspondant à l’épaisseur des murs entourant les embrasures des portes et fenêtres donnant sur l’extérieur.
Les vides et les trémies afférentes aux escaliers et aux ascenseurs.
Les surfaces de plancher des locaux techniques nécessaires au fonctionnement d’un groupe de bâtiments ou d’un immeuble autre qu’une maison individuelle, y compris les locaux de stockage des déchets ;
Les surfaces de plancher des caves ou des celliers, annexes à des logements, dès lors que ces locaux sont desservis uniquement par une partie commune
D’une surface égale à 10% des surfaces de plancher affectées à l’habitation telles qu’elles résultent le cas échéant de l’application des alinéas précédents, dès lors que les logements sont desservis par des parties communes intérieures.
Et enfin, une précision :
Modification du seuil de recours à un architecte
5 oct. 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
L'article 82 de la loi n°2016-925 du 7 juillet 2016 prévoit qu'un décret modifie le seuil de recours à un architecte lequel ne devra pas dépasser 150 m².
Dans l'attente de la publication de ce décret, le seuil de dispense d'un architecte fixé à 170 m² pour les personnes physiques continue de s'appliquer.
Excellente année 2017, pour vous Yaya et pour tous les membres du groupe "Rénovation Maisons Anciennes", avec, à la clef, des travaux magnifiques et une santé de fer pour les mener à bien.