La Banque de France et les établissements bancaires travaillent par ailleurs sur un mécanisme de médiation pour les dossiers ayant essuyé un refus, malgré leur apparente solvabilité.
Augmenter son apport
Le premier moyen est de limiter le montant à emprunter. Pour conserver un budget identique, il faudra mécaniquement augmenter son apport, c'est-à-dire la somme d'argent - fruit souvent de l'épargne -, que le candidat au crédit met dans le projet.
"La façon dont le plus de dossiers tangents sont sauvés aujourd'hui est le recours à la générosité familiale", explique à l'AFP Olivier Lendrevie, ancien président du réseau de courtiers Cafpi.
Pour financer l'achat de la résidence principale, les emprunteurs peuvent aussi piocher dans leurs plans d'épargne entreprises (PEE) ou leurs plans d'épargne retraite (PER), sous certaines conditions.
Jouer sur l'assurance
Les établissements demandent aux emprunteurs de souscrire une assurance pour se couvrir dans les cas où ils ne seraient pas en mesure de rembourser leur prêt (invalidité, décès).
Chaque banque aura tendance à pousser sa propre compagnie d'assurance mais rien n'oblige l'emprunteur à souscrire chez elle ... Lire la suite de l'actu sur Batinfo