Notre chantier consiste en l'extension en bois d'une maison plus ancienne construite en matériaux traditionnels.
Nous avons conclu notre contrat le 11/04/2011. De nombreux éléments étant imprécis, nous avons rédigé un avenant que nous avons fait annexer au contrat et qui a été signé en même temps par les deux parties. Ce contrat mentionne des délais pour l’exécution des travaux : 4 semaines pour commencer l’abri voitures et la remise (même bâtiment à côté de la maison en limite de propriété) ; 8 semaines pour commencer l’extension de la maison ; puis 6 mois maximum pour la durée du chantier. Nous avons versé 40% du montant des travaux à la signature.
Dans la première proposition de contrat, la maçonnerie de la dalle était comprise. Puis Formule Bois nous a demandé de régler ce poste séparément et nous a transmis par email le devis de son maçon. Il est apparu par la suite que l’entreprise de maçonnerie avait été très mal informée, n’était pas venue voir les lieux, qu’elle n’avait pas de véritable plan de maçonnerie et cela a entraîné de nombreux problèmes dès le départ du chantier. Nous avons géré cela tant bien que mal, en acceptant une importante malfaçon, à savoir un défaut de niveau entre la construction existante et l’extension. Nous avons payé intégralement la facture à l’entreprise de maçonnerie. Formule Bois a prétendu que nous étions seuls responsables de la surveillance de ce poste puisque nous devions payer directement le maçon.Il est cependant stipulé dans le contrat que nous ne devons en aucun cas intervenir sur le chantier. Donc c’est selon l’humeur de la gérante et ce qui l’arrange, car nous n’avons été informés de cette exception qu’à posteriori(lettre recommandée au mois de juin).
Malgré tout, et contrairement à ce que prétend Formule Bois, la maçonnerie était prête dans les délais (facture du 11 mai 2011). Et nous n’avons vu une entreprise intervenir que dans la semaine du 27 juin pour l’abri voitures. Cette tentative n’a duré que 3 jours : d’abord parce que les plots en béton n’étaient pas à leur place mais cela a été rectifié dès le lendemain ; ensuite parce que le sous-traitant choisi par Formule Bois n’avait aucun matériel pour travailler et, je résume parce que ce serait trop long, faisait prendre aux deux apprentis présents des risques graves pour leur intégrité physique : par exemple grimper sur une lambourde de section 7,5 cm, à cheval entre deux échelles doubles pour lever à 2,5 m trois fermes en bois massif pesant au bas mot 150 kg chacune (voirphotos) avec le seul secours d’un petit treuil électrique lui même en équilibre sur le tout. Pleurs des apprentis, insultes du « patron »…Nos voisins et nous-mêmes sommes intervenus pour faire cesser ce scandale. L’entreprise Formule Bois, informée aussitôt, a pris fait et cause pour le sous-traitant,sans même chercher à vérifier quoique ce soit. A commencé alors le scénario quis’est répété depuis : arrêt du chantier, menaces, etc…
Entre temps, les panneaux des murs de l’extension avaient été livrés le 17 juin dansl’après-midi, et pour cause : le contrat stipule que le deuxième versement de 35% se fait « à la livraison des murs sur le chantier ». Ils sont restés ainsi, mal empilés, baignant dans l’eau (il a beaucoup plu en juin et juillet) jusqu’au 25 juillet, date à laquelle une autre entreprise est venue prendre la suite. Entre temps, il y a eu échange de lettres recommandées, rendez-vous chez Formule Bois qui a essayé de se retirer du chantier en faisant une proposition qui nous pénalisait beaucoup et que nous n’avons pas acceptée. Un semblant d’accord ayant eu lieu, nous avons cru que l’incident était clos et nous avons réglé le deuxième versement le 2 août 2011. Celui-ci est censé payer tous les travaux jusqu’aux finitions.
Interruption du chantier le 6 août pour les vacances. Les murs avaient été montés, la charpente de la maison aussi et les fenêtres posées tant bien que mal car les emplacements prévus n’étaient pas aux bonnes dimensions.
Première semaine de septembre, l’entreprise d’électricité se présente pour voir le chantier. Le lendemain, nous recevons un email de FormuleBois nous réclamant une plus-value de 5202,96 € pour le poste électrique, ce qui correspond, nous l’avons appris depuis, au montant du devis de l’électricien. Nous refusons car nous n’avons demandé aucune plus-value ; deuxième tentative, maintenant c’est 3270,22€ ; nous refusons ; échange d’emails peu aimables.
Nous n’entendrons plus parler de l’électricien jusqu’au 17 novembre.
Pendant ce temps, l’entreprise XXX, qui est intervenue précédemment, revient, monte l’abri et le couvre, ainsi que l’extension. La tuile identique à celle de lamaison existante n’a pas été commandée. Le sous-traitant en propose une autre, nous acceptons. Le 8 septembre, nous recevons une lettre recommandée incendiaire, nous accusant d’avoir commandé nous même la tuile ausous-traitant, sans l’autorisation de Formule Bois, cequi bien sûr est faux. Formule Bois nous réclame une plus-value de 2200,64 €. Nous refusons car,renseignements pris auprès du fournisseur, la tuile posée est moins chère quela tuile prévue.
Nous envoyons une mise en demeure de reprendre le chantier le 19 septembre. Formule Bois n’y répond pas mais le 6octobre, un email nous apprend que les ouvriers de l’entreprise viendront le 17octobre. A partir de ce moment, le chantier reprend tant bien que mal jusque vers le 11 novembre.Mais il manque toujours quelque chose pour finir, et ce qui est laissé en attente à ce moment là, l’est encore à ce jour. Formule Bois prend prétexte de simples mises aupoint concernant les cloisons intérieures pour retarder encore le chantier. Je passe, à chaque épisode, les affirmations de la gérante selon lesquelles c’est nous qui changeons d’avis, etc…C’est faux, bien sûr. Toujours des mensonges et des manipulations.
La gérante vient faire une visite de chantier le 2 novembre. Cela se passe bien mais nous nous demandons ce que cela prépare. Pas longtemps, car le 9 novembre nous recevons un appel à payer le dernier versement, soit la totalité de la construction. Le montant est erroné.
Or aucun des travaux prévus aux deux premièrestranches n’est terminé. Les cloisons ne sont pas faites, électricien, et plombier ne sont pas intervenus. Mais nous avons réglé 80% des travaux puisqu’une pergola prévue au devis initial a été supprimée d’un commun accord.
Discussions par email jusqu’au 21 novembre. A 11h30, deux employés de Formule Bois arrivent sur le chantier et installent leur matériel. En même temps, Le secrétariat de Formule Bois appelle, nous demande de régler immédiatement ledernier appel de fonds faute de quoi le chantier s’arrête. Nous refusons. Un des ouvriers est appelé sur son portable et la gérante lui ordonne de quitter le chantier. Ils partent à 12h15. Dans l’après-midi, devant ce chantage, nous demandons la visite d’un expert, déjà requis par d’autres clients de FormuleBois, pour faire un bilan de ce qui est fait sur le chantier par rapport à ce que nous avons payé. Nous souhaitons qu’un tiers indépendant statut et que cessent ainsi les tentatives pour nous « soutirer » (c’est uneuphémisme !) de l’argent.
Pour nier le chantage,Formule Bois reprend le travail le lendemain et convoque même l’électricien et le plaquiste. En 4 jours, les cloisons sont montées. Nous croyons au pèreNoël…hélas ! Vendredi vers 17h 45, la gérante appelle pour annoncer la suspension du chantier, soi-disant pour envoyer son propre expert. Nous lui répondons courtoisement et, tout d’un coup, elle profère des menaces :« vous êtes pitoyables …si je peux vous pourrir la vie pendant 10 ans, je le ferai… ».
La suite...
Nous envoyons à Formule Bois le rapport de notre expert.
L’expert mandaté par Formule Bois, Mr XXX, se présente chez nous le 9 décembre, accompagné de Mr XXX, époux de la gérante, et d’un conducteur de travaux, Mr XXX, censé s’occuper désormais du chantier.
Au cours de la réunion, l'époux de la gérante promet, à la demande de son expert, de s’engager par écrit, avant Noël, à finir le chantier pour le 15 février (le délai contractuel ayant expiré le 6 décembre), d’établir un échéancier de règlement selon l’avancement des travaux et de réparer les malfaçons. Il nous demande en outre de retirer du forum notre récit de construction et ajoute: "Vous le remettrez si je ne tiens pas parole." C'est ce que nous faisons aujourd'hui!
Hélas, l’entreprise ne tient aucune de ses promesses, le conducteur de chantier commence à baisser les bras. Formule Bois ne veut pas communiquer le rapport de son expert. On se doute pourquoi !
La reprise des travaux, initialement prévue le 12 janvier, se fait le 31, jusqu’au 8 février. Tout est à nouveau interrompu brutalement après que l’électricien ait tenté de se faire régler directement une partie de la facture en faisant le siège de notre domicile à 9 heures dusoir ! Durant ces quelques jours, Formule Bois a refait une partie del’isolation et consolidé la fixation des baies. Le plombier a passé dans les combles le tuyau pour raccorder l’eau mais n’a pas fait le raccord. L’électricien a posé deux prises et le plaquiste les plafonds de la chambre et de la salle de bain. C’est tout.
Entre temps, nous avons mis en demeure plusieurs fois l’entreprise de cesser ses manœuvres d’intimidation et de terminer le chantier sous peine de voir le contrat dénoncé à leurs torts exclusifs. Nous leur avons fixé un ultimatum au 29 février après quoi nous dénoncerons le contrat, la prestation de service prévue au contrat n'ayant été fournie que partiellement, entachée de graves malfaçons et les délais de livraison étant expirés.
Le conducteur de travaux, Mr XXX nous prévient que l’entreprise veut un versement de fonds malgré son avis négatif. Il estime, comme nous qu’il n’y a pas lieu de payer les finitions alors qu’elles ne sont pas commencées et que, surtout, les travaux prévus aux deux tranches déjà intégralement réglées depuis le 2 août 2011 ne sont toujours pas terminés. Nous refusons par lettre R/AR.
L’entreprise répond le 23 février par un courrier dans lequel on nous annonce un protocole, assorti de quelques menaces voilées si nous n’acceptons pas. La gérante sait bien qu’à notre âge nous hésiterons à requérir la justice.
A la place du protocole d’accord, le conducteur de travaux, qui avait cependant fait un métré exact de ce qui était fait et de ce qui restait à faire, nous transmet, en s’excusant, le 28 février, une « facture » dont le montant n’a aucun rapport avec le devis contractuel et qui comptabilise des travaux non effectués. Nous la contestons aussitôt, en incitant une dernière fois l’entreprise Formule Bois à exécuter les travaux qu’elle nous doit. Nous n’aurons aucune réponse.
Le 5 mars, nous faisons constater par maîtreXXX, huissier de justice, l’état d’avancement du chantier ou plutôt son état d’abandon.
Nous sommes à bout. Une partie de notre déménagement, qui devait être entreposé dans le garage, a pourri tout l’hiver dans une cabane de jardin.
Nous décidons de faire continuer notre chantier par une autre entreprise et de déposer une plainte contre L’entreprise Formule Bois qui a abusé notre confiance, a perçu une rémunération pour des travaux qu’elle a refusé de mener à bien en exerçant des menaces et des pressions pour obtenir encore d’autres avances de fonds.
Nous savons que, à ce jour, d’autres clients de FormuleBois, avec lesquels nous avons été mis en rapport par des sous-traitants, sont dans la même situation que nous et même pire.
Aujourd’hui, 21 mars 2012, un huissier envoyé par Formule Bois vient de se présenter pour nous faire payer la fameuse dernière facture ! Il a pu constater lui-même que les travaux concernés n’étaient pas faits.
Donc cette entreprise nous a fait signer un contrat qui nous obligeait à payer les travaux d’avance. Elle n'a réalisé ces travaux qu’en partie, avec de nombreuses malfaçons ; elle n'a pas respecté les délais de livraison mais s’en fiche complètement et ne prend même pas la peine de se justifier. Lorsque nous avons compris à qui nous avions à faire, elle a "stoppé" le chantier pour nous obliger à payer encore.
La suite des évènements:
la gérante de l'entreprise nous assigne au tribunal puisque nous ne nous sommes pas laissés faire; bien sûr en travestissant la vérité à sa façon. C'est donc devant la justice que l'affaire va se régler et sans doute il ne va pas suffire à cette dame d'accuser sans preuve, de menacer à tous vents.
Elle nous reproche aussi d'avoir publié ce récit; elle oublie que nous sommes dans un pays où l'on a encore le droit de dire tout haut la vérité, lorsque bien sûr c'est la vérité. Nous pouvons même dire que ne pas le faire, puisque ce forum existe, serait de la non-assistance à personnes en danger.
En ce qui concerne notre maison, nous avons fait terminer par une autre entreprise le plus gros des travaux de bardage et lambris. Nous achevons nous-mêmes l'électricité et la plomberie pour compenser un peu ce que Formule Bois nous doit. Nous avons investi notre extension, défait un peu les cartons de notre déménagement ...et nous essayons de ne pas penser chaque jour à cette terrible aventure.
Le dossier est entre les mains de notre avocat et il a répondu au votre.
Celà étant je vais vous répondre :
La dalle béton a été réalisée par Monsieur Brondeau lui même donc elle n'a pas de garantie décenalle ce qui exclu de fait le CCMI.
Conformément au permis de construire que vous avez déposé la toiture plate était à double pente. Nous n'avons jamais été informé que la toiture plate devait être monopente, la preuve en est que nous avons un mail de Madame BOMPAS nous demandant quand nous allions réaliser le pluvial coté jardin et coté rue. Vous vous êtes vous même rendu compte de ce fait lorsque vous avez demandé la conformité qui vous a été refusé et que vous vous êtes rendu compte que votre arrêté de permis de construire le mentionnait. Arrété qui ne nous a jamais été remis.
Le pluvial qui par ailleurs n'est pas au devis et que vous vous êtes reservé comme bien d'autres postes depuis le début.
Vous avez oublié de mentionner que vous avez pris possession de votre construction depuis maintenant plus d'un an.
Comme par hasard, c'est au moment ou nous avons demandé la facture de solde mais également la facture des plu-values impayées qu'apparaissent "des problèmes".
Jusqu'à maintenant et selon les dires de Monsieur Brondeau je vous cite : "le résultat était au-dessus de vos espérances".
Vous avez également oublié de dire que vous nous avez demandé un entretien afin de postuler^pour un emploi de conducteur de travaux, poste que nous vous avons refusé. (Comme à d'autres de ce forum, d'ailleurs).
Comment peut on "se tirer une balle dans le pied" en allant demander un emploi à : je vous cite " à des incompétents doublés de personnalités malfaisantes".
Quant à vos rapports, ils seraient quand même judicieux que pour une fois l'un d'entre vous demande une expertise contradictoire réalisée par un expert judiciaire mandaté par le tribunal et là vous pourrez alors le publier.
B.*******
Elle a réussi à convaincre le modérateur de ce forum de fermer une discussion qui ne lui était pas favorable...
Elle pense que la parole peut être muselée sur Internet ?
Elle menace ! Mais rien de bien concret au final ! L'article du Sud Ouest fait de l'effet, mais je pense Madame que vous sous-estimez la détermination de votre "clientèle", à qui vous n'avez su qu'opposer du dédain et du mépris... L'injure, l'invective, l'insulte... De basses œuvres pour échapper à vos responsabilités. Vous avez toujours voulu vous croire supérieure... Notre mission est maintenant de vous ramener à la triste réalité...
Vous avez eu largement la possibilité d'adopter une autre démarche vis à vis de nous. Vous avez préféré faire autrement. Pensez-vous attaquer en justice la planète entière ? Internet ne vous est pas inféodé...
JE N'AI JAMAIS INSULTE, MALTRAITE, TERORISE PERSONNE.
POURQUOI VOUS NE NOUS ATTAQUEZ NOUS PAS SI VOUS ETES LESES. A CE JOUR AUCUNE PROCEDURE N'EST ENGAGE CONTRE NOUS ET A PART GESTICULER SUR LE NET POUR FAIRE COULER NOTRE ENTREPRISE, VOUS NE SAVEZ RIEN FAIRE D'AUTRE.
JE NE VAIS PAS ATTAQUER LA TERRE ENTIERE MAIS VOUS LES PROTAGONISTES DE CETTE CABALE SANS NOM.
FORMULE BOFF POURQUOI NE PAS METTRE VOTRE NOM....... CA S'APPELLE DU COURAGE!!!!!!!!!
" JE N'AI JAMAIS INSULTE, MALTRAITE, TERORISE PERSONNE.
POURQUOI VOUS NE NOUS ATTAQUEZ NOUS PAS SI VOUS ETES LESES. A CE JOUR AUCUNE PROCEDURE N'EST ENGAGE CONTRE NOUS"
Croyez-vous vraiment? Jamais terrorisé personne? Pas de procédure en cours?
Enfin Mme ! Reprenez-vous ! Vous ne savez pas qu'écrire en majuscule et en rouge pourrait être un excellent motif pour signaler au modérateur de ce site une démarche abusive ! Aller va... Sans rancune ! Nous, nous ne demanderons pas la censure de vos messages, ils sont tellement plaisants à lire.
Qui vous dit qu'aucune procédure n'est en cours contre vous ?
"Pas de patience, pas de science" disait Jean-Pierre Jarroux !
Pour ma part, j'ai souvenir ici même sur ce forum de plusieurs messages de votre part menaçant clairement plusieurs membres de ce forum critiques envers vos pratiques...
Malheureusement, cette liquidation ne me surprends pas du tout... Et c'est encore une fois les clients (ainsi que les bons salariés)qui vont le plus en souffrir...
Mais non voyons! C'est de leur faute ces vilains clients qui ont refusé de se laisser "plumer" sans rien dire. Ils auraient dû se taire pour que d'autres encore se prennent dans les filets...ils auraient bien ramassé quelques miettes pour avancer leur chantier! Ces gens qui ont de la morale, des empêcheurs de tourner en rond, je vous dis!
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Informations sur le projet : Type de travaux : Construction neuve Type de construction : Plain pied Style : Contemporaine / classique Surface habitable : 90m² (2 pièces) Superficie terrain : 3000m² Type de constructeur : Entreprise du batiment