[35] un cube pour une famille dans la campagne bretonne

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Nous faisons construire dans la campagne bretonne avec les maisons rennaises, notre nouvelle maison, il y aura 4 chambres et un salon, séjour, cuisine de 41 m² .
nous avons adhéré a l'AAMOI, pour mieux connaitre nos droits, et se faire assister dans les parties technique, cette adhésion a été faites pour éviter de mauvaises déconvenue que nous avons eu lors de la construction de notre 1ere maison il y a dix ans.
l'ensemble de notre dossier a été vu par les juriste de l'association ( plan, descriptif.....), et de nombreux points ne respectent pas le cadre du ccmi.
Les points suivants
peinture, revêtement de sol non chiffré
évacuation non chiffré
Non respect des aménagements extérieur (le constructeur vous doit se qui est sur les plans), trop cher selon le Conducteur de travaux).
Appelle de fond des 95 et des 5 dernier % en une seul fois obliger de versé par chéque les deux sans les dissocié, ceci est bien sur illégal juriste AAMOI,

nous avions 8 jours après la réception, selon la loi pour versé les 5 derniers %, le constructeur impose sa version revisité de la loi, Pourtant lors d'un appel à la secrétaire pour dénoncer cela bizarrement, elle nous dit l'inverse.
Hélas le conducteur de travaux repasse derrière, pour nous inventer une appelle de fond qui n'existe pas.


Nous avions choisi un constructeur du bassin Rennais ( les maisons Rennaises et nous regretons se choix ) car il avait une bonne réputation, nous avions espérer qu'il relève le challenge et nous livre la maison pour le mois d'octobre 2017.
Le constructeur vie sur une ancienne réputation, qui n'a plus lieu d'être aujourd'hui ( constructeur a éviter ou alors il faut bien cadrer le ccmi et le descriptif ) tout avant la signature après seulement de belle parole, des mensonges.

date d'ouverture de chantier le 3 mars 2017,
cette date avait été validé par la mairie du lieu de construction par une mise a jour administrative, avec une copie envoyé au garant.

la date d'ouverture du chantier correspond bien au début des travaux donc le terrassement info juriste aamoi, et uncmi.

le conducteur de travaux a contester par courrier rar la modification de la date d'ouverture de chantier, en invoquant une loi qui n'existe pas.

Selon le conducteur de travaux cette ouverture de chantier DOC se ferai au coulage des fondations.
Ceci est bien sur un mensonge source AAMOI, puisque cette ouverture se fait des le terrassement,(cette date compte dans le délai de livraison).
Nous avons également du subire un
Comportement intrusif de leur conducteur de travaux, parole blessante, mensonge, un exemple parmi d'autre, se soit disant conducteur de travaux nous avait dit qu'il avait accès à nos comptes bancaires.
J'avais appelé la direction générale de ma banque pour les avertir de ceci.
Soyez vigilants avec se constructeur, car malgré avoir dénoncé cela par courrier a leurs direction rien n'a changé.

Nous avons vendu notre ancienne maison ou nous étions heureux, car nous avons subi ce que peu pourrai accepter sur une longue période.
voilà notre triste histoire, nous avons été harcelé pendant 4 long mois qui pour nous ont paru une éternité, l'un de nos voisin nous a fait vivre l'enfer a moi et ma famille, a mes enfants qui avait 11 et 8 ans, mon fils qui est autiste a ma femme, et a moi qui est en invalidité car je suis atteint d'une maladie incurable qui m'handicap une neuropathie la maladie évolue malheureusement dans le temps puisque je commence a marcher avec une canne de marche
nous avions eu le droit au jeu de palet breton, qui consiste a lancer des palets en métal sur une planche en bois "comme des bruits de marteau" et ceci tous les jours de 18HOO a 22HOO voir 22H30 voir plus tôt certain jours, se monstre avait mi la planche le long de la clôture mitoyenne a tout juste 5 mètres de notre maison qui donne sur la partie chambre.
le bruit était tellement important que nous l'entendions dans toute la maison et fenêtre et volet fermé.
nous avons eu le droit d'être épié
nous avons eu le droit a la prommenade quotidienne de se monstre tard le soir devant notre ancienne maison
nous avons eu le droit de ne rien dire sous peine de subir encore plus de brimade de se monstre
nous avons eu le droit que se monstre mette une épave, voir une caravane ou encore le camion de son entreprise sur le parking public devant notre ancienne maison
nous avons eu le droit aux aboiement de leur chien, tout les jours des que nous mettions un pied dehors il ne l'avait pas dressé
Pour échapper a cela, nous devions quitter notre maison, aller au cinéma, aller chez mc do, faire des sortie pique nique, j'ai un copain qui nous avait laisser son jardin au mois de juillet, nous avions trouvé la solution de mettre un lecteur mp3 sur nos oreilles pour échapper a cela.

personne n'a bougé le petit doigt, les autres voisin n'ont rien dit ils ont préférer subir en silence, la marie n'a rien fait , la gendarmerie n'a rien fait pour arrêter la situation.
au final nous avons vendu notre maison, j'ai du arracher à mais enfants leurs lieu de vie, leurs chambres, leurs jardin, leurs chez eux.
Pour porter plainte j'ai du saisir le tribunal de grande instance de Rennes, car la gendarmerie nous refusai se droit.
aujourd'hui cette affaire est en cours d'instruction au TGI. depuis le 15 Mai en cours de jugement ( classé sans suite en juillet 2017 )

Nous avons vendu pour refaire construire, pour essayer de tourner la page de cette horreur, pour essayer de se reconstruire une vie, nous avons mi notre constructeur dans la confidence de ceci pour qu'il prenne en compte notre situation.
car nous ne pouvons plus attendre, le temps est long a subir, ma fille encore hier soir avait le cafard de notre ancien chez nous, moi même aussi dur dur par moment.
il est impératif que cette maison soit sortie de terre et fini pour le mois d'octobre, car cela fera 1 an que nous avons dit adieux a notre ancienne vie.

les tracasserie de la construction sont pénalisante pour nous, sa nous rajoute du stress et de la fatigue, le
la vie en lotissement surtout avec des parcelles de plus en plus petite peuvent devenir vite un terrain de conflit.