[91] notre cauchemar avec Maisons Clairval

C'est là où les problèmes ont commencé !!!

Le constructeur n'a respecté aucun délai contractuel de la partie administrative.

En effet, que ce soit pour la constitution du PC, le dépôt de celui-ci en mairie ou la sollicitation du garant, les délais ont été dépassés en allant de quelques jours à plus de 2 mois.

Cependant, la mairie a été très réactive et nous avons eu l'accord du PC en 1 mois et demi.

Nous sommes en octobre 2016 et nous venons d'acheter notre terrain et de ce fait, nos conditions suspensives sont donc levées.

Dans notre contrat le chantier est ouvert uniau plus tard après la levée des conditions suspensives ET au plus tard après expiration des délais de recours et des des tiers.

Donc le chantier doit être ouvert au plus tard trois mois après obtention du PC si nos conditions suspensives sont levées ce qui était le cas.

Malheureusement, le constructeur ne souhaite pas appliquer le contrat pusqu'il nous dit que le chantier doit être ouvert 3 mois après la levée de la dernière condition suspensive.

Dans tous les cas la DOC a été faite conformément à notre contrat.

En résumé, première grosse déception qui n'annonce rien de bon au vu du comportement du constructeur.

Nous voila enfin dans la partie la plus intéressante. Le chantier est ouvert contractuellement depuis deux mois et le constructeur attaque le terrassement seulement en janvier 2017.

C'est impressionnant de voir enfin le trou se creuser pour le sous-sol, malgré les gros bloc de calcaire qui ont obligé le terrassier à utiliser un BRH.

Pouvez vous nous dire la suite svp

nicolas91 a écrit:

Nous voila enfin dans la partie la plus intéressante. Le chantier est ouvert contractuellement depuis deux mois et le constructeur attaque le terrassement seulement en janvier 2017.

C'est impressionnant de voir enfin le trou se creuser pour le sous-sol, malgré les gros bloc de calcaire qui ont obligé le terrassier à utiliser un BRH.

Bonjour,
Petit up en esperant que la fin de votre chantier s,est bien passée

Bonjour, je n'ai plus eu le temps de finir mon récit.

Dans les grandes lignes:

J'ai eu une erreur d'implantation de 30 cm. Le constructeur a donc procédé à la demolition (bon point à souligner car peu de constructeurs prennent leur responsabilité)

Quelques points de litige pour plusieurs travaux non chiffrés.

Après la réception, qui s'est déroulé correctement, j'ai eu des difficultés à faire lever les réserves. Un accord a été trouvé en conciliation.

En gros les travaux sont globalement correctement réalisés (avis de mon expert) mais l'aspect réglementaire du CCMI n'est pas respecté sur plusieurs points.

Bonjour à tous,

Je suis actuellement à la fin de mes aménagements extérieurs, et le dernier gros chantier est la reconstruction d'un mur mitoyen en pierres meulières qui s'effondre (seul chose que je ne fais pas moi-même). Ce mur fait un peu plus de 2 m de haut pour une longueur de 17 m.

L'artisan retenu avec le voisin est la société J.C.K Sarl (SIREN 417 740 552 ) basé à Épinay-sur-Seine (93). Le chantier a démarré mi septembre 2021.

Première étape la démolition. Pas de grande difficulté mais comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, les pierres ont été mises directement le long de ma terrasse en composite.



Verdict, la lame de rive présente de nombreux éclats dû aux pierres. Il y a deux lames à changer. Pour info le devis comporte une ligne "protection général du sol et de bien" facturé 370 €.

Commence ensuite la réalisation de la fouille. Sur le devis le fond de fouille devait être à 50 cm pour respecter a minima le hors gel. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, à plusieurs endroits la fouille ne fait que 20 cm de hauteur.



Arrive ensuite l'étape du ferraillage. L'artisan m'a mis des gravats au fond de la fouille pour ensuite poser dessus l'acier de la fondation. Je ne rentre pas dans le débat des gravats mais je vous laisse juger par vous même.



Les attentes verticales réalisées avec des 4HA10 ont deux tiges en fer plantées directement dans le sol (photo ci-dessous), je vous laisse vous faire votre avis vis-a-vis du DTU 20.1. Il y a au moins deux tiges en retour d’équerre mais sans le recouvrement nécessaire.



L'étape du coulage des fondations. Le béton a été réalisé avec du ciment vrac du nord que j'utilise également. Le béton était extrêmement liquide lié probablement à un excès d'eau. De plus, il me paraissait très clair par rapport au béton que je réalise avec le même ciment en respectant le dosage au dos du sac. Il y a surement un problème de dosage. Je vous laisse vous faire votre avis sur les propriétés mécaniques de ce béton.

Arrive ensuite l'étape de l'élévation du mur. Les pierres on été montées en utilisant un mortier à la chaux.



Après l’élévation, l'artisan a réalisé les joints à la chaux avant de réaliser le chapeau. Plusieurs jours après l'application du joint, ce dernier n'a pas été brossé ni les pierres pour enlever les traces de chaux.



Voyant que l'artisan ne voulait rien faire, j'ai brossé moi-même les joints et dégagé les pierres. Sur la photo ci-dessous la partie haute du mur a été brossé et la partie basse est telle que l'artisan l'a laissé.



Le mur présente également un faux aplomb de plus de 10 cm entre le haut et le bas sur la partie droite du mur car l'artisan a suivi sa planche en bois qui n'était pas d'aplomb...



La suite au prochain épisode

Bonjour,
Mis à part les délais, quel autre aspect de la construction t'as paru cauchemardesque ?
Est-ce qu'on t'as demandé une rallonge malgré le prix convenu ?
Je demande tous ça parce que je m'apprête à signer avec eux.