Nous souhaitons ici partager notre expérience personnelle de sorte qu’elle puisse servir à d’autres.
Nous avons signé avec 123chezmoi un CCMI en août 2016. Notre maison aurait due être livrée en janvier 2018 mais à ce jour, (mars 2021), l’ouvrage est bien loin d’être achevé.
En quelques dates:
08/2016: signature du CCMI
03/2017: ouverture du chantier
04/2017: arrêt du chantier et réalisation des études de sol et parasismique, réalisation partielle de l'étude de structure
07/2017: reprise du chantier, démolition et reprise des fondations pour se conformer aux normes en vigueur
01/2018: la maison aurait due être livrée mais elle est loin d'être terminée...
03/2018: arrêt du chantier en raison d'un trop grand nombre de malfaçons (Confère extrait du rapport d'expertise judiciaire ci-joint pour plus de détails).
03/2018: saisie du garant (QBE via son mandataire AGEMI). Tentative du garant de sortir du CCMI à travers un protocole d'accord non recevable. Refus du garant de reconnaitre la défaillance du constructeur.
01/2019: assignation de 123chezmoi et de QBE en référé expertise et obtention d'une mesure d'expertise judiciaire. Garant jugé hors de cause par le tribunal à ce stade de la procédure.
03/2020: publication du rapport d'expertise judiciaire
07/2020: échec des négociations amiables avec 123chezmoi basées sur le rapport d'expertise
08/2020: nouvelles suspicions de graves malfaçons détectées sur les linteaux
08/2020: nouvelle saisie du garant (Assurance QBE via son mandataire AGEMI) - refus du garant de jouer son rôle malgré un premier rapport d'expertise accablant démontrant l'incompétence de 123chezmoi et le retard de livraison imputable aux graves manquements de 123chezmoi.On se demande pourquoi payer une garantie de livraison à prix et délai convenus...
09/2020: refus de 123chezmoi de fournir une note de calcul justificative des linteaux ou un rapport de bureau de contrôle relatif à la solidité de l'ouvrage. 123chezmoi affirme malgré tout que les linteaux sont conformes...
09/2020 : commande à mes frais d'un rapport d'étude d'un des linteaux de l'ouvrage pour vérifier son dimensionnement.
10/2020: obtention du rapport d'étude commandé à mes frais et relatif au linteau. Rapport d'expertise à nouveau accablant pour 123chezmoi : le bureau d'études structure relève les malfaçons redoutées et pire encore,un risque d’effondrement...
10/2020: transmission du rapport à 123chezmoi et mise en demeure de réaliser les études techniques nécessaires déjà demandées à maintes reprises. En parallèle, préparation d'une nouvelle procédure d'assignation en référé expertise pour les linteaux au cas où 123chezmoi continuerait à s’entêter dans son déni.
En refusant à nouveau de réaliser et/ou de fournir les études techniques nécessaires au bon déroulement du chantier, les gérants aggravent le retard de bientôt 3 ans accumulé sur mon chantier.
10/2020: 123chezmoi m'assigne en référé, ainsi que Forum Construire, pour les propos tenus sur le Forum du site.
12/2020: le tribunal rejette les demandes de 123chezmoi puisque les propos tenus sur ce forum "n'apparaissent pas violer une règle de droit de manière manifeste". Nous n'en doutions pas, mais c'est heureux que le tribunal le confirme.
12/2020: une société spécialisée en réparation de gros œuvre commence les travaux de reprise. Malgré les notifications adressées au constructeur, il manque toujours au devis de réparation le renforcement de la dalle pour que cette dernière puisse supporter l'escalier béton prévu au contrat...
12/2020: depuis octobre, toujours pas de réponse de 123chezmoi sur le risque d’effondrement des linteaux confirmé par le bureau d'études structures...Nous sommes à nouveau contraints de préparer une nouvelle assignation en référé expertise...
01/2021 MAJ: Les travaux de réparations feront l'objet d'une demande d'expertise en raison de la non-conformité des produits utilisés (cf. article sur les travaux réparatoires).
01/2021: de nouvelles malfaçons relatives au chainage parasismique sont mises à jour par les travaux réparatoires.
03/2021: le tribunal vient de rendre l'ordonnance de référé. Sans surprise, il ordonne une nouvelle expertise judiciaire.
07/2021 : le constructeur a été mis en demeure de payer les pénalités de retard (1259 jours...), copie au garant (QBE Insurance Limited). Aucune réaction ni de l'un ni de l'autre. Face à cette défaillance supplémentaire du constructeur, le garant sera une nouvelle fois mis en demeure de procéder au règlement des pénalités de retard. Ce ne sera que la 3ème fois que nous lui demandons d'assumer ses obligations et qu'il a refusé d'assumer jusqu'alors.
07/2021: bonne nouvelle ! La seconde expertise va démarrer, le premier accédit (réunion des parties) est fixé au 17/09/2021.
12/2021 : seconde réunion d'expertise judiciaire. Sondages destructifs : poutre en béton armée, pieds de raidisseurs, linteau, seuil de garage.
Courage pour votre procédure.
J'ai été dans le même cas que vous mais pour un vice caché sur un véhicule. La partie adverse à tout tenté, et même menacé de me poursuivre pour harcèlement... Au final j'ai gagné mon procès en appel... Ne lâchez rien ! En vous souhaitant la
même fin !
Courage pour votre procédure.
J'ai été dans le même cas que vous mais pour un vice caché sur un véhicule. La partie adverse à tout tenté, et même menacé de me poursuivre pour harcèlement... Au final j'ai gagné mon procès en appel... Ne lâchez rien ! En vous souhaitant la
même fin !
Exactement, c'est la même chose. La mauvaise foi dont a fait preuve le constructeur pour échapper à la demande de référé et tout au long de la procédure d'expertise judiciaire était d'un très haut niveau. Le seul truc qui n'est pas à la hauteur c'est la construction de la maison...c'est pourtant la seul chose que je lui avais commandé...
Gros oeuvre > Elévation des murs - étage
Par Nicolas Half le 08/09/2020 à 22h54
Bonjour à tous !
Je vois de nombreux posts du forum sur les linteaux, c'est un sujet important puisqu'ils impliquent la solidité de l'ouvrage.
Je rencontre moi-même un problème et j’aimerais recueillir vos avis.
Mon constructeur réalise les linteaux d'une manière qui me parait être inappropriée.
Je lui ai demandé de me fournir les notes de calcul ou un rapport de bureau de contrôle attestant du bon dimensionnement, il ne répond pas. Il se contente de répondre que les linteaux sont conformes… Oui, mais conformes à quoi ? Vraisemblablement pas aux normes et règles de l'art en la matière si j’en crois les informations que j’ai pu glaner.
Pour ceux et celles qui ne connaissent pas encore mon récit, je rappelle que j'ai été contraint d'assigner le constructeur au tribunal pour demander une première expertise de ma maison suite aux trop nombreuses malfaçons constatées. Les conclusions de l'expert judiciaire, accablantes pour le constructeur, sont rappelées dans mon premier article.
Sauf évolution de la situation, l’absence de réponse du constructeur à ma demande va me contraindre à demander une nouvelle procédure de référé expertise pour les linteaux.
En effet, sur la photo du linteau réalisé par 123chezmoi, on distingue le ferraillage du linteau réalisé au-dessus d'une de mes baies vitrées située sous une terrasse couverte. Le ferraillage du linteau en aciers 4HA10, les dimensions du linteau de 20x20cm et la réalisation ne paraissent répondre ni aux normes, ni à la réglementation parasismique ni aux règles de l’art.
En effet, ce linteau doit permettre de supporter :
Le plancher de la toiture terrasse accessible (charges permanente, d’exploitation et neige)
Le plancher de l'étage (charges permanente et d'exploitation)
Le mur de façade de l’étage,
La toiture (qui repose sur le mur de façade)
Les éléments réglementaires et normatifs suivants me laissent à penser que le linteau est concerné par de graves malfaçons, dans la continuité de ce qu'avait fait le constructeur initialement :
Le linteau a une portée de 2.50m. La réglementation indique qu’au-delà de 2m, il est nécessaire de réaliser, non pas un linteau, mais une poutre avec un ferraillage et des dimensions adéquats. Le ferraillage mis en œuvre est un chainage 4HA10, ce n’est pas un ferraillage de poutre.
Le DTU 20.1 P4 définit les règles de calcul et dispositions constructives minimales, notamment les appuis minimums de part et d’autre d’un linteau qui ne peuvent être inférieurs à 20cm. Ce minimum normatif n’est pas respecté. Au regard de la photo, le ferraillage est incorrect et l’appui du linteau est au plus de 10cm (extrémité des aciers).
Les équerres sont situées à l’extérieur des cadres et ne jouent vraisemblablement pas leur rôle de manière correcte. L’étude parasismique réalisée par le BET Structure après les premiers incidents qui ont émaillé mon chantier rappelait pourtant l’obligation de positionner les liaisons à l’intérieur des cadres.
Les ferraillages sont en appui sur la partie latérale du coffre de volet roulant, ne permettant pas de respecter les enrobages de béton réglementaires. Ce point avait déjà été souligné par l’expert lors de la première expertise.
Ce constructeur travaille à l’envers depuis le début, le rapport d’expertise le souligne : il réalise les travaux, puis il fait les études ensuite. Personnellement, je ferais le contraire, ça éviterait de faire et de casser pour refaire…
L’absence de dimensionnement technique et le non-respect des règles rappelées ci-avant me font douter de la solidité de l’ouvrage.
A titre de comparaison, la lecture du document suivant permet de mesurer l’écart entre ce qui a été fait et ce qui est préconisé par le fournisseur d’armature Standarm :
Au delà des rappels réglementaires et de mise en oeuvre en début de document, l’abaque de dimensionnement donnée en fin de document, pour la seule reprise des planchers (sans le mur de façade ni la toiture) préconise une poutre en béton armé de dimension 20cmx40cm (dans mon cas L1 = 5.48m et L2=2.80m).
J’imagine que si on ajoute le poids de la façade de l’étage et la toiture, l’écart serait encore plus conséquent !
Ce document me semble constituer à lui seul la preuve que le linteau existant présente un réel danger. La réalisation actuelle apparaît donc dangereuse et semble mettre en péril la solidité de l’ouvrage.
En dépit de ces mêmes éléments transmis au constructeur, il refuse de fournir une note de calcul justificative, c’est pourtant son job. Ce genre de comportement m’apparait être criminel, faut-il vraiment attendre un effondrement pour qu’une prise de conscience s’opère ?
A cause du constructeur qui s'entête à ne pas répondre sur un point crucial et légitime, c'est une nouvelle prolongation de la période 123SansToit, le temps du référé expertise et de l’expertise elle-même, nous voici repartis pour plus de 12 mois.
Merci pour vos conseils et merci de partager à vos connaissances qui pourraient m’apporter un éclairage.
Quand on pense que l'on souscrit à un CCMI pour la tranquillité d'esprit en se disant que le travail sera réalisé par des professionnels... J'ai le sentiment que certaines personnes s'installent comme artisan sans avoir la moindre connaissance des règles de l'art, des normes liées à la construction, ou alors ils s'en foutent.
Quand on pense que l'on souscrit à un CCMI pour la tranquillité d'esprit en se disant que le travail sera réalisé par des professionnels... J'ai le sentiment que certaines personnes s'installent comme artisan sans avoir la moindre connaissance des règles de l'art, des normes liées à la construction, ou alors ils s'en foutent.
Le seul intérêt d'avoir un CCMI réside dans la garantie de livraison à prix et délai convenu. L'idée est louable, encore faut-il que le garant accepte de remplir ses obligations légales.
Par exemple, me concernant, le garant (QBE) refuse totalement de se conformer à l'esprit de la garantie, il cherche par tous les moyens à se soustraire à ses obligations. Je l'avais assigné en référé expertise pour qu'il soit partie prenante lors de celle-ci. Plutôt que de participer et d'endosser son rôle de garant, il a tout fait pour s'extraire de la procédure d'expertise.
Quand le rapport d'expertise est arrivé, je lui ai demandé de jouer son rôle. En effet, le délai de livraison était dépassé de plus de 2 ans en raison de nombreuses malfaçons démontrées dans le rapport. QBE a répondu que le rapport d'expertise ne pouvait pas lui être opposé du fait de son absence à lors de la procédure d'expertise (à laquelle il avait tout fait pour se soustraire) et que le constructeur n'était pas défaillant... Contre ce genre de mentalité, il faut s'armer de patience...
Et que va t'il se passer à la fin ? C'est le constructeur qui va payer car le garant ne couvre pas les malfaçons liées a des négligences ni les pénalités de retard qui en découlent.
Autre point de vigilance, les fissures. Une maison bien étudiée et bien construite ne fissure pas. Celui qui voudra faire marcher sa garantie dommage ouvrage dans ce cas recevra la plupart du temps un refus au motif que les fissures ne sont qu'esthétiques. Tant qu'il n'y a pas d'infiltration d'eau dans la partie habitable, l'assureur refusera de faire jouer la garantie...le constructeur ne sera donc jamais vraiment inquiété et l'assureur ne paiera rien.
La meilleures des assurances est le choix de l'entreprise. Tout le reste n'est qu'un investissement à fond perdu.
J'ai l'impression que les problèmes techniques de la construction de Nicolas Half ont glissé vers des problèmes juridiques, et maintenant il est en plein dedans.
S'il existe une garantie bancaire d'achèvement, ce sera aux juristes de dire comment la faire fonctionner, si c'est possible et pour ne pas se retrouver dans le cas de Thiboco.
Sans doute faut-il constater la défaillance du constructeur, par les délais, et par les défauts de construction, certifiés par un expert judiciaire (dans le cadre d'une procédure, pas en expertise amiable), défaillance concrétisée par une mise en demeure non suivie d'effet. Peut-être même avec une résiliation du marché du fait de cette défaillance.
En cas d'une telle défaillance, s'il y a un dommage-ouvrage, elle peut intervenir après résiliation du marché, non pas pour finir le chantier, mais pour réparer les désordres de solidité. Par exemple pour refaire les fondations si c'est reconnu nécessaire, puisque ce serait une défaillance de solidité - ça ferait quand-même un gros morceau.
Espérons qu'il n'y aura pas à assigner encore la DO ...
Tout ça est à faire sans se planter ; pas évident pour le quidam lambda. Et bonjour les dépenses en frais et honoraires.
Je vois qu'un expert judiciaire a déjà conclu à devoir refaire les fondations ? Tout reconstruire donc ?
Pour le linteau, Nicolas a déjà décrit les non conformités. Les cadres devraient faire la hauteur de la section, et pas seulement entourer les armatures, lesquelles devraient être au bas de la section.
L'appui sur maçonnerie est de 20 cm (DTU), ou de la largeur du poteau s'il est encastré dedans comme ici (on retombe en général sur 20 cm, mais ça peut être 15). Pour la section d'acier (en travée et sur appuis), ce sera selon les charges, à préciser.
Mon avis, non professionnel, ne peut servir d’étude pour une réalisation.
Je viens de prendre attache avec un Bureau d'Études Techniques Structure pour qu'il me donne un avis éclairé et engageant sur les malfaçons supposées.
Le BET m'a bien confirmé que les linteaux n'étaient pas conformes aux normes en vigueur et qu'il n'était pas certain qu'en l'état, ils puissent supporter la charge appliquée. J'attends le rapport d'analyse détaillé.
Je connais un constructeur qui va encore se faire tirer l'oreille par un expert judiciaire... c'est à croire qu'il aime ça!
Bonjour Monsieur,
Ayant des soucis avec 123 chez moi également. Le chantier par contre n'est pas arrêté, je voulais vous demander si vous pouviez le donner le nom de votre maître de chantier. Si vous préférez en privé voici mon mail. audreydetugny@orange.fr
Merci
Bonjour Monsieur,
Ayant des soucis avec 123 chez moi également. Le chantier par contre n'est pas arrêté, je voulais vous demander si vous pouviez le donner le nom de votre maître de chantier. Si vous préférez en privé voici mon mail. audreydetugny@orange.fr
Merci
Bonsoir Audrey,
Après bientôt 3 ans d'arrêt de chantier, le nom du conducteur de travaux m'échappe... Comment s'appelle la personne qui suit actuellement votre chantier ? Si c'est la même personne, ça me reviendra.
Si vous le souhaitez, vous avez la possibilité de détailler votre projet et les points bloquants que vous rencontrez. Les membres du forum sont très actifs, ils partagent leurs expériences et leurs conseils. Ils sont généralement d'une grande aide pour trouver une solution. J'en profite pour les remercier ici .
Bonjour,
Le maître de chantier s'apelle Mr xxxxx, pour ma part pas vraiment professionnel. Terrain trop décaisse. Il c'est même permis d'ôter et passé sur le terrain de mon voisin pour stocker la terre , qu'il voulait me facturer 1000 euros pour l'oter. Il arraché des bornes, détruit le regard de mon voisin (novembre 2019). Nous avons mis avec insistance plus de 6 mois pour le faire réparer afin que mon voisin installe son compteur, ils ont refait la dalle mais non pas changé les regard qui son cassé (et pas un peu fissuré). Heureusement que je leurs ai parlé de la fenêtre de la salle de bain sinon elle n'y serait pas ni l'arrivée de la machine a laver, qui est indiqué sur le plan. Descente de gouttière pas poser dans le bon sens la elle vont tomber sur ma future terrasse, erreur du au fait qu'il n'a pas vu le changement de place du puit perdu!!! A ce demandé a quoi sert le dernier rendez vous de mise au point. Les toiles sous toitures pour l'étanchéité trouées de partout, ( ils m'ont sortis que c'était des tâches d'huile..) le plus important est donc l'implantation de la maison qui n'était pas a 70 cm de mon sol naturel. Solution décaisser autour de la maison alors que c'est strictement interdit pas le plu... Après pleins de petits détails. Les placots été nickel, après le passage de certains artisans, quelques endroits sont abîmés... Il ème dit que c'est a moi de reboucher. Alors que c'est peut être du au fait qu'il rentre la brouette et bétonnière par ma porte d'entrée pour faire les carreaux. Ils entreposent tout le matériel sur mes carreaux neuf apparemment c'est normal. J'ai jamais vu ça personnellement. Mais on dirait que les méthodes de travail sont pas pareils chez 123 chez moi. Ils m'avaient posés des rebords de fenêtre abîmés. Bref ils sont fatiguant. Je tiens quand même a souligner qu'il y a de bon artisans. Plaquiste, et électricien vraiment génial. Si d'ailleurs quelqu'un recherche un électricien, je veux bien vous donner son contact. Plombier niveau plomberie nickel, par contre il vends les meubles et quand il n'y en a plus celui que vous voulez dans son secteur, pour pas s'embêter il vous dit que le meuble ne ce fait plus, bizarrement quand je lui ai demandé de me faire voir tout les meubles de la gamme, au lieu de prendre le meuble qu'il me proposait, il a retrouvé mon meuble initial comme par magie... Donc bon.
J'espère que pour vous ça s'arrangera au plus vite parce que j'imagine que c'est pas évident, et dure moralement, moi j'achète seul, et étant une fille ils ont du penser que j'étais un peu idiote et mon pris clairement pour une conne.. je n'en suis pas a votre situation mais c'est déjà fatiguant a mon stade donc j'imagine au votre. En tout je vous souhaite bon courage. Et espère qu'à ce stade là ça va vite s'arranger.
Le nom que vous indiquez ne me dit rien. Ce chantier réalisé par 123chezmoi se situe sur quelle commune ? Il doit y avoir des attributions de zones géographiques.
J'ai l'impression que les problèmes techniques de la construction de Nicolas Half ont glissé vers des problèmes juridiques, et maintenant il est en plein dedans.
S'il existe une garantie bancaire d'achèvement, ce sera aux juristes de dire comment la faire fonctionner, si c'est possible et pour ne pas se retrouver dans le cas de Thiboco.
Sans doute faut-il constater la défaillance du constructeur, par les délais, et par les défauts de construction, certifiés par un expert judiciaire (dans le cadre d'une procédure, pas en expertise amiable), défaillance concrétisée par une mise en demeure non suivie d'effet. Peut-être même avec une résiliation du marché du fait de cette défaillance.
En cas d'une telle défaillance, s'il y a un dommage-ouvrage, elle peut intervenir après résiliation du marché, non pas pour finir le chantier, mais pour réparer les désordres de solidité. Par exemple pour refaire les fondations si c'est reconnu nécessaire, puisque ce serait une défaillance de solidité - ça ferait quand-même un gros morceau.
Espérons qu'il n'y aura pas à assigner encore la DO ...
Tout ça est à faire sans se planter ; pas évident pour le quidam lambda. Et bonjour les dépenses en frais et honoraires.
Je vois qu'un expert judiciaire a déjà conclu à devoir refaire les fondations ? Tout reconstruire donc ?
Pour le linteau, Nicolas a déjà décrit les non conformités. Les cadres devraient faire la hauteur de la section, et pas seulement entourer les armatures, lesquelles devraient être au bas de la section.
L'appui sur maçonnerie est de 20 cm (DTU), ou de la largeur du poteau s'il est encastré dedans comme ici (on retombe en général sur 20 cm, mais ça peut être 15). Pour la section d'acier (en travée et sur appuis), ce sera selon les charges, à préciser.
Bonjour Ilovir,
Pour répondre rapidement à la première partie de votre message, le garant, la société QBE via son courtier AGEMI, a été saisi en mars 2018. QBE a tenté de négocier durant 7 mois un protocole de sortie du CCMI qu'il était impossible de signer au regard des conditions et implications (pertes des garanties liées au CCMI, perte de mon financement bancaire, problème de garantie décennale pour le futur repreneur du chantier, problème de garantie dommage ouvrage pour moi...).
J'ai donc assigné le constructeur et le garant en référé expertise en novembre 2018. L'expert judiciaire a remis son rapport en mars 2020.
QBE a plaidé pour ne pas être impliqué à ce stade de la procédure et le juge est allé en ce sens. Ce qui n’empêchera pas d'assigner une nouvelle fois QBE ultérieurement le cas échéant.
Les conclusions du rapport d'expertise judiciaire figurent parmi les pièces jointes à mon récit et confirme les malfaçons signalées au constructeur préalablement à l'assignation en référé. Je vous laisse en prendre connaissance.
Les fondations initiales avaient été réalisées sur des remblais de piscine et dans une couche d'argile... Elles ont été cassées et refaites lorsque j'ai demandé à 123 Chez Moi de justifier le dimensionnement. L'étude de sol et l'étude de structure faites postérieurement à la réalisation des fondations avaient démontré la nécessité recommencer le travail.
Malgré les différents jugements des cours de cassation relatifs à la mise en jeu des garanties et repris par l'AAMOI sur son site, QBE estime que la défaillance du constructeur s'entend comme une défaillance financière et refuse donc d'intervenir. Or force est de constater que la maison aurait dûe être livrée en janvier 2018 et que nous sommes en octobre 2020... Il y a bien une défaillance à livrer dans le délai convenu. Le rapport d'expertise judiciaire souligne la défaillance technique de 123 Chez Moi.
Pour en revenir à la question du linteau, j'ai reçu le rapport que j'ai commandé à mes frais à un bureau d'études structure. Ce rapport confirme les malfaçons que je suspectais et pire encore, il note un risque d’effondrement.... Là c’est très grave puisque 123chezmoi met délibérément en danger la vie des futurs occupants.
En effet, malgré les éléments d'alerte que j'avais transmis à 123 Chez Moi, et la mise en demeure de justifier du dimensionnement par une note de calcul, le constructeur m'écrivait que les linteaux étaient "conformes". Conforme à quoi ? Pas aux normes en vigueur en tout cas...
Le rapport a été transmis à 123 Chez Moi pour laisser l'opportunité au constructeur de faire les études techniques avant le lancement d'une nouvelle procédure d'expertise judiciaire dont il est d’ores et déjà informé.
Je suis de tout coeur avec toi dans ton combat contre ce constructeur qui n'a vraisemblablement pas les compétences requises pour juger des malfaçons, ou qui est de mauvaise foi.
Je suis de tout coeur avec toi dans ton combat contre ce constructeur qui n'a vraisemblablement pas les compétences requises pour juger des malfaçons, ou qui est de mauvaise foi.
Bonjour Thiboco,
Merci pour ton message de soutien. J'espère que ton projet avance mieux que le mien .
Je ferai un petit article à la prochaine avancée du projet. A ce jour le constructeur n'a pas réagit au rapport du bureau d'études structures qui lui a été transmis il y a 12 jours indiquant un risque d'effondrement.
Bonne soirée!
Tout à été cassé et le sous-traitant remplacé, par une entreprise qui me semble bien plus compétente. Alors je croise les doigts
Je suis de tout coeur avec toi dans ton combat contre ce constructeur qui n'a vraisemblablement pas les compétences requises pour juger des malfaçons, ou qui est de mauvaise foi.
Bonjour Thiboco,
Merci pour ton message de soutien. J'espère que ton projet avance mieux que le mien .
Je ferai un petit article à la prochaine avancée du projet. A ce jour le constructeur n'a pas réagit au rapport du bureau d'études structures qui lui a été transmis il y a 12 jours indiquant un risque d'effondrement.
Bonne soirée!
« Et les réparations firent naitre de nouveaux doutes... »
Gros oeuvre > Autres travaux de maçonnerie
Par Nicolas Half le 23/12/2020 à 13h22
Bonjour à tous,
Nous voilà de retour pour la suite de ce rocambolesque récit de construction.
Suite au rapport d’expertise judiciaire publié en mars 2020, 123chezmoi nous a fourni le 07 décembre 2020 un devis d’une entreprise spécialisée en travaux de réparations (Entreprise TEMSOL) pour nous informer du démarrage de l’intervention de celle-ci sous 2 jours.
Sur ce devis à 40k€ HT, il est chiffré la réparation des 60 mètres linéaires de béton en périphérie extérieure de la dalle du rez-de-chaussée et la réparation des bétons au niveau des 36 nœuds de chainage avec produit passivant et mortier de réparation R4.
Nous notons que le devis ne mentionne pas le renforcement de la dalle du rez-de chaussée pour permettre la réalisation de l’escalier béton prévu au contrat et tel que préconisé par l’expert judiciaire dans son rapport (sans quoi l’escalier passerait au travers de la dalle…). Ce point est notifié à 123chezmoi via nos avocats respectifs dès le 08 décembre mais demeure sans réponse à ce jour.
En regardant le site internet de l’entreprise spécialisée, nous voyons de belles réalisations et des références qui nous semblent sérieuses. Jusque-là les travaux de réparation nous paraissaient être bien engagés à ceci près du renforcement de la dalle à chiffrer.
Nous nous étonnons que 123chezmoi ne soit pas parvenu à trouver une entreprise régionale et qu’il ait fallu aller en chercher une en région PACA, basée à 300km du chantier. Bon, pourquoi pas si ça fonctionne.
Nous constatons que les travaux démarrent tel qu’indiqué par 123chezmoi.
Mais tout se complique lors des visites de chantier. Nous constatons que les travaux de démolition ont commencé mais nous ne connaissons pas exactement le mode opératoire retenu. Nous observons en silence.
En début de semaine, nous voyons sur notre chantier une palette de ciment « le classic » de chez Lafarge avec des sacs de sable. Problème : ce type de ciment et ces sacs de sable n’ont rien à faire sur notre chantier puisqu’il est prévu un mortier spécifique de réparation R4 qui ne nécessite pas d’ajout de sable, seulement de l’eau pour le gâcher. Pas de trace de mortier de réparation…
En fin de semaine, lors d’une autre visite, nous retrouvons parmi les déchets de chantier les sacs de ciment et de sable vides, vus sur la palette en début de semaine. Les volumes de matériaux utilisés paraissent correspondre aux « réparations » effectuées sur les pieds des chainages verticaux.
Pour apporter un éclairage financier, le prix d’un mortier de réparation est de l’ordre de 10 fois plus élevé que celui d’un mortier traditionnel (ciment+sable).
En outre, les travaux réalisés ne sont pas conformes au devis : il était prévu un mortier coulable pour la reprise des pieds de raidisseurs et non un mortier à serrer.
Nous sommes pour le moins surpris qu'une entreprise spécialisée en réparations de structures puisse commettre une "erreur" aussi grossière. Nous avons bien quelques pistes d'explication en tête mais il conviendra d'achever les vérifications avant d'affirmer quoi que ce soit.
Nous avertissons par email 123chezmoi ainsi que l’entreprise en charge des travaux de ce constat et demandons que la lumière soit faite sur ce point. En parallèle, un courrier officiel est adressé à leur avocat.
La réponse par email de 123chezmoi est d’interdire à l’entreprise en charge des travaux de communiquer avec nous et nous demande de nous adresser uniquement à eux pour toute question.
Lorsqu’on sait que 123chezmoi nous adresse un courrier officiel pour harcèlement téléphonique lorsque nous essayons de les appeler par deux fois pour demander des informations, refuse de recevoir les courriers recommandés que nous leur adressons et ne répond pas aux courriers adressés via nos avocats quant au risque d’effondrement des linteaux et aux prestations de renforcement de dalle non chiffrées dans le devis, cette nouvelle "réponse" ne nous étonne pas vraiment…
Faute de pouvoir discuter et faute d’obtenir des réponses satisfaisantes, la nouvelle assignation en référé expertise qui leur sera délivrée prochainement pour l’expertise des linteaux, intégrera donc la demande d’analyse du mortier utilisé pour les réparations.
Les travaux de réparation se poursuivent et je m'interroge. Dans l'attente des réponses aux questions posées au constructeur, je sollicite l'avis des éventuels spécialistes de ce genre de travaux.
A quoi servent les aciers traités, ajoutés et ligaturés sur les aciers de structure en périphérie de l'ouvrage (cf. photos ci-jointes) ?
Je constate par endroit que les aciers ajoutés affleurent la façade.
Il me semble que du point de vue des contraintes d'enrobage à respecter pour lutter contre la carbonatation, 1cm de mortier R3/R4 équivaut à 3cm de mortier classique.
Ce qui me pose le plus question ce sont ces aciers noyés dans quelques cm de mortier. Je me demande ce qu'ils sont censés apporter et s'il sont réellement favorables.
Et par ailleurs, au regard de la densité d'acier sur les raidisseurs, je ne vois pas comment échapper à un mortier de réparation coulable pour garantir le bon enrobage.
Gros oeuvre > Autres
Par Nicolas Half le 12/01/2021 à 14h48
Nous y voilà!
Les doutes relatifs aux matériaux employés par l'entreprise spécialisée TEMSOL en charge des travaux de réparation sont malheureusement confirmés.
Le devis remis par la société TEMSOL prévoyait l’usage des produits suivants:
Passivant pour les aciers,
Mortier de réparation R4 pour les reprises en périphérie du bâtiment
Mortier de réparation R4 coulable pour la reprise des pieds de raidisseurs et des nœuds de chainage
En lieu et place du mortier de réparation prévu au devis, il a été fait usage sur le chantier d’un mortier traditionnel pour la reprise des pieds de raidisseurs:
Les premiers indices ayant éveillé l’attention sont les sacs de ciment « le classic » et les sacs de sables livrés sur palette en début de chantier, retrouvés vides (ou entamés) parmi les déchets de chantier quelques jours plus tard. Aucune trace de sacs utilisés de mortier de réparation.
Il est rappelé que le mortier de réparation nécessite seulement de l’eau pour le gâcher, en aucun cas il ne nécessite du sable.
S’en est suivi la constatation de fissures dans un mortier supposé être un mortier de réparation, à retrait compensé. Ceci constitue une anomalie car un mortier de réparation ne fissure pas de la sorte.
L’aspect du mortier lui-même n’est pas celui d’un mortier de réparation tel que celui spécifié dans le devis, il ne comporte pas de fibres. Pour se rendre compte, voici à quoi ressemble un mortier fibré de réparation, il comporte des fibres ressemblant à des "poils" (en partie centrale de la photo):
Il apparait donc établi que le mortier utilisé par TEMSOL n’est pas un mortier de réparation tel que préconisé au devis en dépit de ce qu’affirme 123chezmoi.
Par ailleurs, il convient de souligner que la méthodologie spécifiée au devis TEMSOL n’a pas été respectée puisque les pieds de raidisseurs et les nœuds de chainages ont été réparés au mortier à serrer et non au mortier coulable tel que spécifié.
Enfin, il semble qu’aucune cure du mortier n’ait été prévue au devis et il n’existe aucune trace de cure sur chantier (ni film polyéthylène, ni chiffons humides ni produits de cure). Cette cure est pourtant imposée par les DTU et rappelée sur les fiches techniques des fabricants (PCI nanocret R4 par exemple cité au devis).
Que dire de plus ? Je pense que chacun se fera son opinion...
« Quand il n'y a plus de malfaçons, il y en a encore... »
Gros oeuvre > Autres
Par Nicolas Half le 12/01/2021 à 15h10
Les travaux réparatoires entamés et entachés de ce qu'il convient d'appeler en langue de bois "de malheureuses erreurs", ont révélés quelques problèmes plus anciens.
La mise à jour des nœuds de chainage a permis de rendre visible cette splendide malfaçon dont la photo pourrait être soumise au concours photo de l'AQC (Agence Qualité Construction) :
On y voit le pied de raidisseur dégarni sans aucune liaison avec le chainage de la dalle basse.
Les aciers qu'on aperçoit derrière (passivés / de teinte jaune) sont ceux ajoutés en périphérie de la maison pour une meilleure accroche du mortier de réparation (cf. article précédent), ce ne sont en aucun cas les aciers de structure permettant de répondre à la réglementation parasismique en vigueur.
On aperçoit également le treillis soudé de la dalle.
Je croyais que nous avions fait le tour de l'intégralité des malfaçons, je me trompais...
MAJ février 2021:
Dans la catégorie "malfaçons sur les chainages parasismiques", voici quelques exemples de mise en œuvre que tout professionnel devrait proscrire :
Rien n'est conforme aux préconisations de l'étude parasismique (et par conséquent ni à l'Eurocode 8):
Liaisons de continuité manquantes,
Cadres transversaux manquants,
Attentes positionnées hors des cadres.
22 raidisseurs minimum sur un total de 36 sont impactés. Il faudrait vraisemblablement tout reprendre, la nouvelle expertise le déterminera.
En attendant la nouvelle expertise, pour éviter de perdre encore un peu plus de temps, j'ai signalé ces malfaçons au constructeur en lui rappelant l'étude structure qu'il avait entre les mains au moment de la réalisation et qui expliquait comment il fallait faire.
A priori, le constructeur ne souhaite pas en tenir compte des malfaçons signalées puisqu'il a demandé à TEMSOL de poursuivre les travaux.
TEMSOL a suivi les instructions de DO-BAT. Les malfaçons sont donc de nouveau camouflées sous les travaux réparatoires qu'il conviendra vraisemblablement de casser pour reprendre....
Faire et défaire, ainsi se résume l'histoire de ce projet (pour rester politiquement correct).
C'est vraiment désolant de voir cela. Une question bête sans doute mais : pourquoi l'expértise judiciaire n'a pas tout simplement préconisée une destruction et reconstruction de l'ouvrage ? Ces travaux réparatoires vont ils tenir dans le temps ? Surtout en zone sismique..
C'est vraiment désolant de voir cela. Une question bête sans doute mais : pourquoi l'expértise judiciaire n'a pas tout simplement préconisée une destruction et reconstruction de l'ouvrage ? Ces travaux réparatoires vont ils tenir dans le temps ? Surtout en zone sismique..
Bonjour Tonyjon ,
Oui c'est désolant.
L'expertise judiciaire a estimé à 50k€ les travaux de reprise contre 100k€ pour la démolition-reconstruction. C'est la raison pour laquelle cette solution de réparation a été préconisée par l'expert. Le constructeur aurait pu choisir de démolir et de refaire s'il avait voulu.
Les travaux réparatoires satisfont aux contraintes s'ils sont réalisés selon les règles. Ici ce n'est pas le cas.
Les mortiers de réparation sont des produits très techniques capables de résister à d'importantes contraintes (mécaniques, chimiques). Parmi les grands noms de fabricants : sika, weber, parex-lanko et PCI.
Ces gammes de produits sont utilisées pour la réfection des structures béton endommagées et ont largement fait leur preuve.
C'est encore une histoire qui va devoir se régler au tribunal. L'audience de référé est prévue fin janvier.
C'est aberrant , immoral, désespérant pour leur profession
La charge mentale de cette construction doit être insoutenable sur tes épaules et pourtant, tu ne lâches rien !
C'est admirable, bravo Vous gagnerez bien sûr toutes vos procédures en cours et à venir mais quelle désillusion en tant que MO de voir son rêve se disloquer
C'est aberrant , immoral, désespérant pour leur profession
La charge mentale de cette construction doit être insoutenable sur tes épaules et pourtant, tu ne lâches rien !
C'est admirable, bravo Vous gagnerez bien sûr toutes vos procédures en cours et à venir mais quelle désillusion en tant que MO de voir son rêve se disloquer
Bonjour Cocaya,
bienvenue sur mon récit et merci pour ton message de soutien .
Il est vrai que les constructeurs et garants jouent main dans la main pour que les maitres d'ouvrage renoncent à obtenir ce pour quoi ils ont payé, ce jeu est parfois long.
Le côté positif c'est l'aspect formateur de cette expérience, j'ai énormément appris, je saurai m'en resservir, mon prochain projet sera traité différemment de celui-ci.
Pour les procédures, les issues paraissent plutôt favorables au regard des malfaçons reconnues lors de la première expertise judiciaire et des éléments apportés pour celle à venir. Je suis serein de ce côté là.
Par contre, je n'ai évidemment plus aucune confiance dans le constructeur au regard du passif existant. J'espère que la défaillance du constructeur sera reconnue par le tribunal, ce qui forcera le garant à mettre en œuvre la garantie à prix et délai convenus de sorte à faire intervenir une entreprise compétente. A suivre !
A bientôt!
Salut Nico Half, je suis dépité et désolé pour toi.
Nous rencontrons nous aussi des malfaçons graves.
Notre constructeur est cependant plus responsable... pour le moment.
Je t'apporte tout mon soutien dans cette galère affligeante.
Gib'
AAMOI 11140 --> merci pour ton aide
Un inconnu suit mon récit, sans information, sans possibilité de le supprimer contrairement à tous les autres profils. J'ai demandé aux admin hier, j'attends la réponse pour savoir ce que c'est. Vous avez le même ?
Dans la liste de mes abonnés, aucun inconnu .... bizarre ou alors c’est son pseudo
Un inconnu suit mon récit, sans information, sans possibilité de le supprimer contrairement à tous les autres profils. J'ai demandé aux admin hier, j'attends la réponse pour savoir ce que c'est. Vous avez le même ?
Dans la liste de mes abonnés, aucun inconnu .... bizarre ou alors c’est son pseudo
Un inconnu suit mon récit, sans information, sans possibilité de le supprimer contrairement à tous les autres profils. J'ai demandé aux admin hier, j'attends la réponse pour savoir ce que c'est. Vous avez le même ?
C'est peut être lié à l'assignation judiciaire que j'avais reçu du constructeur pour dénigrement ou alors une nouveauté qui se prépare. J'attends la réponse des admins du forum.
Merci
Bonjour. Je tombe sur votre récit.... mon dieu quelle catastrophe.
Par contre, je ne comprends pas, est-ce que votre dossier est repassé au tribunal suite à l'expertise judiciaire ?
Parce que perso, nous n'avons même pas demandé au garant d'intervenir. Nous espérons casser le cvmi.
Bonjour. Je tombe sur votre récit.... mon dieu quelle catastrophe.
Par contre, je ne comprends pas, est-ce que votre dossier est repassé au tribunal suite à l'expertise judiciaire ?
Parce que perso, nous n'avons même pas demandé au garant d'intervenir. Nous espérons casser le cvmi.
Bonsoir, merci pour ton message.
Suite à notre première assignation du constructeur en procédure de référé expertise, nous disposons d'un rapport d'expertise judiciaire accablant pour le constructeur comme tu as pu le voir.
Nous n'avons pas encore assigné au fond puisque nous venons de ré-assigner constructeur, garant et banque en référé en raison des nouvelles malfaçons auxquelles le constructeur refuse de répondre ou de porter remède malgré les nombreux emails et courriers officiels échangés entre avocats à ce sujet. Nous souhaitons également rendre opposable le rapport d'expertise au garant et le forcer à jouer son rôle et qu'il fasse réaliser les travaux par une entreprise compétente.
Pour notre part, tu as aussi pu le lire, le garant avait tenté de nous faire signer un protocole d'accord inacceptable visant surtout à dégager sa responsabilité. Nous y aurions perdu énormément. Je te conseille de bien examiner la situation avant de sortir du CCMI, je te conseille plutôt de faire intervenir le garant car il est responsable de la bonne exécution des travaux. Je pense qu'il est indispensable que tu l'impliques, nous pourrons en reparler en MP.
A l'issue de cette seconde expertise nous assignerons au fond. C'est long mais on n'achète pas une maison comme on achète une baguette de pain, l'enjeu financier est colossal quand on prend un prêt sur 20 ou 25 ans, pas possible de lâcher.
Membre super utileEnv. 40000 messageFinistere Nord , Plus Loin Y A La Mer :) (29)
Un inconnu suit mon récit, sans information, sans possibilité de le supprimer contrairement à tous les autres profils. J'ai demandé aux admin hier, j'attends la réponse pour savoir ce que c'est. Vous avez le même ?
Bonjour ,
Pour moi c'est un pseudo qui n'est plus actif sur le forum
Bonne journée
Un inconnu suit mon récit, sans information, sans possibilité de le supprimer contrairement à tous les autres profils. J'ai demandé aux admin hier, j'attends la réponse pour savoir ce que c'est. Vous avez le même ?
Bonjour ,
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Bonne journée
Finalement mes problèmes à côté des tiens, c'est rien du tout !!
Par contre, tu as l'air de pas mal t'y connaître ! C'est là que ca fait peur ... Celui qui loin et/ou qui n'y connait rien... Et bien il l'a dans l'os !
Comme dit par d'autres, c'est vrai que quand on signe un CCMI on se croit arrivé. On croit qu'on est protégé... Et pis et pis.. Non !
Finalement mes problèmes à côté des tiens, c'est rien du tout !!
Par contre, tu as l'air de pas mal t'y connaître ! C'est là que ca fait peur ... Celui qui loin et/ou qui n'y connait rien... Et bien il l'a dans l'os !
Comme dit par d'autres, c'est vrai que quand on signe un CCMI on se croit arrivé. On croit qu'on est protégé... Et pis et pis.. Non !
Bon courage en tout cas !!!
bonjour Vinou86,
Merci pour ton message .
je suis de formation technique, pas sur ce domaine initialement, et par la force des choses j'ai beaucoup appris avec cette construction. C'est le point positif.
Pour ce qui est du CCMI, on nous vend la garantie à prix et délai convenu comme la garantie ultime. Tout comme la décennale et la dommage ouvrage. Pour ma part, je crois que la meilleure des garanties est d'avoir des artisans compétents et un suivi sérieux du chantier. Mais pendant ce temps là, les assureurs font leur beurre.
Bref, on fera mieux la prochaine fois !
Bonne journée
Gros oeuvre > Autres
Par Nicolas Half le 18/01/2021 à 18h56
Le précédent article dénonçant la non-conformité des travaux réparatoires par rapport au devis fourni a visiblement incité TEMSOL et le constructeur à reprendre l'ouvrage.
Aujourd'hui, quelques pieds de raidisseurs "réparés" ont été de nouveau dégarnis en vue d'être coffrés et refaits.
Gageons cette fois que le produit utilisé sera celui indiqué dans le devis.
Ton récit est hallucinant quand même...on se fait de la concurrence dans les malfaçons!
Je suis dépité pour toi, ça me désole la réaction de ton constructeur. Ouvre un nouveau compte bancaire les plafonds vont vite être depassés
Quand ton constructeur est dans le déni sur la non-conformité des travaux, et qu'il t'accuse du retard alors qu'il ne cesse de devoir casser pour reprendre ses erreurs, ça donne le genre de mail ci-dessous . Heureusement que le constat d'huissier réalisé rétablit la vérité .
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