Bonjour.
Personnellement, je suis passé par cette entreprise et le regrette fortement.
J'avais déposé avis sur les pages jaunes pour Demeures du C*nt*l. Celui- ci à été supprimé à sa demande, avec impossibilité pour qui que ce soit d'en déposer un.
La construction de ma maison par Demeures du C*nt*l.
Mon appréciation globale :
Les travaux de construction de ma maison avec Demeures du Cantal ont commencé en septembre 2010 et m’a été livré en juillet 2012…
Sur le descriptif de ma maison était prévu un thermostat dans chaque pièce principale. Au cours de la construction j'ai remarqué la pose d'un seul thermostat général. Exprimant mon mécontentement, a été posé un thermostat radio dans chaque chambre en communication avec un récepteur Horadio commandant des vannes électriques, mais est resté le thermostat général dans ma pièce de vie.
Lorsque j’ai demandé au conducteur de travaux, pourquoi un thermostat général, ce dernier m’a répondu « pour couper le
chauffage lorsqu’il fait chaud ».
Peut-on avoir la température que l’on veut dans les autres pièces avec ce thermostat général lui demandais-je ? Bien sûr me répondit-il.
En septembre 2011, devait avoir lieu la livraison de ma maison dont la réception a été annulée à 2 reprises, 1 fois pour absence d’artisan et une seconde fois pour travaux inachevés. Heureusement pour moi.
Peu de jours après, par le hasard, j’ai appris par une personne pour laquelle j’ai de la reconnaissance, que la poutre en béton supportant la toiture s’était affaissée et fissurée. Faisant de nombreuses photos, je les ai visionnées, et par grâce, le 27 février 2011, j’ai photographié cette poutre avant quelle ne soit cachée le jour suivant. Cette poutre était bien affaissée. Malgré cela, la construction de la maison avait continué comme si rien n’était.
J’ai saisi la compagnie d’assurance alors que c’est le constructeur qui aurait du le faire.
L’expert SOCABAT de la compagnie d’assurance SMA-BTP n’est intervenu que pour le renfort de la poutre en béton par deux fers en U fixés de part et d’autre au mur, opération la plus facile et la moins cher sans dépose de toiture proposée par le bureau d’étude SOTERSO soumis aux exigences de l’expert point de vue économique et validée par le bureau de contrôle SOCOTEC.
L’essentiel pour moi étant de ne pas recevoir une toiture sur la tête, je n’ai pas refusé. Si j’avais refusé, je ne serais peut-être pas encore dans ma maison. Mais j’aurais du refuser.
La toiture s’étant affaissée avait entrainé l’affaissement de la toiture. Il fallait la remonter, ce qui aurait du être fait en février 2011 au lieu de poursuivre la construction de la maison et même au lieu de renforcer la poutre sans dépose de toiture mi mars 2012.
Pendant la relève, de nombreuses bandes de plaques se sont déchirées mais ont remises en état.
La livraison de la maison prenant du retard, le constructeur a autorisé mon artisan peintre à accéder à la maison pour commencer les travaux. Mon artisan peintre ayant décelé des bandes de joint qui se décollaient, j’en ai informé le constructeur qui est venu constater. Suite à la visite, ne voulant pas payer, il m’a répondu vaguement par courrier électronique « Nous avons fait le point avec l’artisan peintre et avons pris en compte toutes vos observations ». Ce qui ne veut rien dire.
Lors de la réception, ne sachant comment le chauffage allait fonctionner, j’ai accepté le thermostat général.
Lorsque mon artisan est venu faire les travaux de finition en octobre 2012, malgré que rien n’était visible à la réception le 18 juillet 2012, il s’est rendu compte que de nombreuses bandes de plaques s’était déchirées, ceci du au relèvement de la charpente.
Malgré que le constructeur en ait été informé et que le conducteur de travaux soit venu constater, les bandes de plaques refaites par mon artisan peintre ne m’ont pas été payées par le constructeur.
La charpente travaillant des bandes de plaques continuent de se déchirer
Pour 950 euros de réfection de bandes de jointes et de plaques, il aurait fallu que je fasse intervenir un avocat et un expert désigné par les tribunaux. Je ne serais pas encore dans ma maison.
Lorsque j’ai mis le chauffage en route avant d’entrer dans ma maison, je me suis rendu compte que la régulation de ne fonctionnait pas comme je l’attendais.
Le thermostat général, installé dans ma pièce de vie, pièce la plus chaude, coupait le chauffage lorsque la température ambiante était atteinte alors que les pièces de nuit, avec seulement 16,5°, demandaient du chaud. Pour y avoir plus chaud, je devais fermer les vannes manuelles de ma pièce de vie afin qu’elle chauffe moins vite, jusqu’à mettre l’unité interne du chauffage aérothermique en sécurité.
On constructeur n’a pas su me dire ce que je devais faire pour remettre le chauffage en route. Ce n’était pas à lui de le dire m’a t-il répondu un jour…
Il n’y avait pas plus simple que de couper l’alimentation, comme j’en ai eu l’idée, pour annuler la sécurité.
J’ai informé mon constructeur à plusieurs reprises sur le dysfonctionnement de la régulation, mais ce dernier faisait semblant de s’investir.
Ayant pris contact avec des contacts d’Hora et ayant le manuel utilisateur du récepteur Horadio, j’ai appris qu’il pouvait commander la mise en route et l’arrêt du chauffage en fonction des besoins de chaque pièce en prenant la précaution de laisser un minimum de débit pour ne pas faire mettre l’unité interne du chauffage aérothermique en sécurité.
Ayant fait mes analyses, je les ai transmises et ai proposé une modification de branchement au constructeur qui n’a jamais voulu donner suite.
Comme ça me démangeait, ayant un manuel utilisateur, je me suis investi en faisant un branchement provisoire et ai envoyé des photos au constructeur.
Ne connaissant pas le matériel et ne sachant si j’avais bien fait mon branchement provisoire, le constructeur s’est vite empressé de transmettre les photos chez Hora. La personne qui leur a répondu, ne connaissant pas plus le matériel, a écrit que je n’étais pas professionnel, que je n’avais pas fait du travail d’art et qu’il suspendait la garantie du matériel.
La poutre en béton affaissée et fissurée, renforcée par 2 fers en U fixés aux murs de part et d’autre, est du travail d’art de professionnel.
Malgré les recommandations de l’agence Nationale de l’Habitat (ANAH), parce que ce n’est pas une obligation, l’unité interne de l’aérothermie et les tuyaux de circulation d’eau de chauffage n’ont pas été fixés par l’intermédiaire de socles et chevilles isophoniques sur les parois légères (Placoplatre).
Je souhaitais des chevrons en bas des
placards pour avoir la continuité de la plinthe et y poser des portes coulissantes. Il m'a été proposé des chevrons de 6cm de large que j'ai accepté. Il aurait fallu des chevrons d’une largeur de 8,5cm.
Des portes de communication sont voilées si ce ne sont pas les bâtis.
Malgré en avoir informé le constructeur, ce dernier n’a jamais fait constater les portes au fournisseur. Lui-même ne s’est pas déplacé à ma demande.
Une baie vitrée avait les panneaux de travers lorsqu'elle était ouverte. Je me suis rendu compte que le rail était affaissée, ce que j’ai eu du mal à faire admettre au conducteur de travaux qui est venu 2 fois prendre des mesures pour je ne sais pourquoi et ne rien faire pour que ce rail soit redressé.
La fiche de réception est acceptée sans réserve. Le constructeur m’a fait miroiter que la fiche de réception devait être vierge pour que la garantie décennale fonctionne. Comme pour moi même, les réserves sont reportées sur une convention. Vous devez exiger que les réserves soient reportées sur la fiche de réception. A défaut, ne la signez pas, même si l'on vous dit que vous ne risquez rien. Ne vous laissez pas influencer et j’insiste. Il en va de votre intérêt si vous devez saisir les tribunaux s’il le fallait.
Des constructeurs ont cette pratique pour percevoir les 5%.
S'il y a réserves sur celle-ci, les clés doivent vous être remises.
Sachez que, même si vous vous faites assister à la réception, la garantie de parfait achèvement vous est due pendant 1 an à compter de la date de la réception (article 1792-6 du code civil) pour tous les défauts constatés et inscrits sur la fiche de réception et tous ceux qui se sont révélés postérieurement à la réception.
Pour tenter de récupérer 950 euros de réfection des bandes de joints et de plaques par mon artisan peintre auprès du constructeur, j’ai saisi la juridiction de proximité de proximité. Le jour de la séance de conciliation, j’ai eu la désagréable surprise de voir que le constructeur se faisait représenter par un avocat dans le but de me faire payer ses frais, comme il le fait pour tous les clients saisissant la juridiction de proximité. J’ai préféré me désister, ce qu’il a accepté.
Dans un avis sur les pages jaunes, j’avais décrit la construction de ma maison et mettais en garde. Cet avis à été supprimé à la demande du constructeur et personne ne peut plus lui en mettre afin que l’on ne sache que des clients ont des problèmes avec lui.
Ce que j’ai aimé :
Met les gens en confiance, disponible au cours de la construction, courtois. Les indemnités de retard m'ont été payées mais j'ai du m'imposer pour me faire rembourser les factures d'eau et d'électricité.
Ce que je n’ai pas aimé :
Le mot équivalent dans le descriptif, qui ne veut pas dire équivalant en prix et en qualité.
Pendant la construction, le client n'est pas toujours écouté. Après la réception, le client est moins écouté ou pas écouté et n'a pas gain de cause.
Les bons de livraison du béton, les plans de pose de la charpente et des montants métalliques des cloisons ne sont pas fournis.
La garantie de parfait achèvement et la garantie de bon fonctionnement des équipements ne sont pas respectées.
Tous courriers adressés en recommandé avec AR n’ont jamais de suite.
Connu chez une association de consommateurs à Aurillac.
Je vous fournirais un lien pour vous montrer des photos.
Jean-Michel